Il est inhérent
dans notre nature, comme être humain, de se sentir bloqué avec l’idée de
qu’elle est la meilleure chose pour moi? Quand quelque chose de mauvais arrive
dans votre vie, la plupart de nous, avons une tendance à blâmer quelqu’un
d’autre ou bien une quelque chose, lorsqu’on se sent pratiquement dévoré par ce
ressentiment qui nous ronge. Ce n’est jamais possible que ce soit de notre
propre faute que quelque chose complètement négative fasse partie de cette
parfaite bulle dans laquelle je me sentais si bien. Il est doublement plus
difficile d’accepter d’admettre qu’on est responsable ou bien ne même plus y
penser lorsqu’on a la trouille – pas comme dans la musique des années
soixante-dix, non monsieur!- et avoir le
courage de reconnaître que l’on a causé
de la frayeur, ou bien tout simplement dire, “Je m’excuse”. Le pardon est divin, mais dire cette dernière
phrase semble devenir de plus en plus surhumain ou bien quelque chose de
semblable. Je présume, que si cette réalité serait contraire, les psychologues
ainsi que toutes les différentes sortes de thérapeutes se trouveraient au chômage.
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La vie n'est pas un jeu de cartes |
Les dimanches,
d’habitude je finis la semaine – ou je la commence tout dépend de votre point
de vue préféré – en allant à la messe dominicale. C’est une bonne opportunité de
réfléchir, et pour la spiritualité, spécialement lorsque notre courageux leader de la
communauté semble être hors contexte des temps modernes. Néanmoins, le week-end
dernier, l’homélie s’est donnée à la perfection
avec les pensées que j’avais dans ma tête dans ce moment précis. Il est
possible, qu’il soit rentré dans mon blog pour apprendre davantage à l’égard
du pratiquant favori? Ne m’en voulez pas! Il a encouragé la congrégation à voir
au-delà du “Moi” dans les aspects de la vie et profiter de l’esprit chrétien de
communauté et de partage. Quelque chose qu’il a mentionné et m’a vraiment secoué,
ce fut: “Nous croyons toujours que nous sommes si indépendants des autres et
nous nous rendons jamais compte du nombre d’interdépendances que nous avons”.
Cette phrase est vraiment sage et je tiens à la passer à mes enfants et les générations
à venir, de la même façon que ma pensée de Pay
It Forward.
Le besoin pour
les choses matérielles et de ne pas se laisser vaincre par les camarades, est
implacable, dès qu’on apprend à marcher et à parler. Comme le frère et la sœur
qui sautent la corde à danser sur le trottoir, le premier qui arrête dira: “J’ai
fini. Je rentre chez MOI!”.
Par exemple:
a)
J’aimerais
avoir une meilleure voiture.
b)
La télé
de mes copains est plus grande que la mienne.
c)
Le
mari de mon amie est plus sympa que le mien, ou
d)
Tout
ce que l’on vient de citez précédemment.
Les étudiants de
licence en économie apprennent l’importance d’un libre marché et la compétition,
est un fait de valeur juste. Allez raconter aux gens de l’Eurozone! Même au
Canada où l’on compte avec de nombreux monopoles, on nous apprend cela dès le début.
La Campagne des relations publiques pour
le “Je” se remonte, pour nous faire croire qu’éventuellement, nous sommes tous
capables de risquer a Bay Street (Le Wall Street canadien) et se faire beaucoup de pognon et des
dividendes exceptionnels, bien qu’il y ait peu de banques dans tout le pays.
La vérité est que
les interdépendances existent toujours. Prenez par exemple le CEO de HSBC. Aurait-il un job avec toute la richesse qui
vient avec le poste, sans compter avec la souris de laboratoire qui travaille
dans le centre d’appels de service à la clientèle? Michel-Ange aurait-il pu peindre la Chapelle
Sixtine sans avoir eu l’aide d’ouvriers pour la bâtir? Quand nous décidons de
donner le pas gigantesque dans une relation romantique qui nous mène au
mariage, les deux personnes doivent se compromettre à être ensemble toute la
vie. Le jour que je me suis marié, le prêtre n’a pas commencé par un processus
de négociation pour dire que ma femme et moi allions être mariés, pendant
soixante ou quarante ans ou bien de trente a soixante-dix ans, pour ensuite
nous séparer. Au lieu, ce fut un accord de vivre en harmonie et d’être là, l’un
pour l’autre, malgré les circonstances. Même la sainteté du mariage n’est plus
la même chose et ce n’est qu’une victime de plus ajoutée à la maladie de
l’individualité. Les femmes et les maris tiennent des comptes de banque individuels
comme pour établir et renforcer un sens de compétition entre les deux. Mais,
attendez une minute…! Lorsque vous avez
tout formalisé, étiez-vous d’accord à partager votre vie ensemble? De nos jours, on dirait que les gens on
besoin d’être fermement convaincus que travailler ensemble les mènent à la réalisation
de projets plus importants pour leur bien commun. Trouver de bons emplois est
toujours un besoin. Rome n’a pas été édifiée dans un jour par quelque sorte de
intervention divine par le grand homme des cieux (vous n’avez qu’à regarder le
ciel pour vous rendre compte que vous regardez dans la bonne direction). Pour bâtir ses colonnes toutes droites on a
eu besoin d’un grand nombre de personnes et avoir un gouvernement pour les gérer
pour les gens qui les apprécient et non pour les gens malpropres et démodés
appelés “Barbares”.
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Chaque un à son métier et les vâches seront bien gardées |
Je présume que ce
que j’essaye de dire est: qu’un grand nombre parmi nous oublie pourquoi nous
sommes là où nous y sommes et en même temps nous remercions ceux qui nous on aidé à arriver où nous y
sommes. Ce ne fut pas une question de chance ni les circonstances, ce fut grâce
aux gens de notre équipe qui nous stimulent à devenir chaque jour
meilleurs. Les gens qui nous entourent,
contribuent d’un façon ou l’autre, à notre existence, et devrions être toujours
prêts à les remercier, les pardonnez et demander pardon. Quand un leader d’une
communauté gâche tout, il serait plus facile (et mieux), devrait passer aux
aveux pour tout arranger, au lieu de laisser que tout l’entourage prenne feu à
cause de son orgueil et dire «Désolé mec!». Bien que nous soyons dirigeants,
partisans, épouses, maris, gestionnaire de projet, prophète, frère ou sœur,
nous en avons tous des interdépendances auxquelles nous devons être
surveillants, et comme tel, reconnaissants qu’ils forment tous partie de notre
vie. Il n’y a qu’une seule vie. Le temps que nous allons passé sur la planète, n’est
pas notre propre décision, alors il faut bien en profiter tant qu’on y peut. Il
y a quelques problèmes que l’on peut pas éviter, certainement nous aimerions
tous avoir un peu moins de stress, soit parce que nous le causons à quelqu’un
ou bien à nous mêmes. Aurrera, nire jarrailek!
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