Un enfant de troisième culture (TCK/3CK) ou enfant trans-culturel est "quelqu'un qui, pendant son enfance, a consacré une longue période de sa vie dans une ou plusieures cultures autres que sa propre, intégrant ainsi certains éléments de ces cultures avec celle sa naissance créant une troisième culture."

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dimanche 10 juin 2012

Le pouvoir de l’un sur l’autre


Il est inhérent dans notre nature, comme être humain, de se sentir bloqué avec l’idée de qu’elle est la meilleure chose pour moi? Quand quelque chose de mauvais arrive dans votre vie, la plupart de nous, avons une tendance à blâmer quelqu’un d’autre ou bien une quelque chose, lorsqu’on se sent pratiquement dévoré par ce ressentiment qui nous ronge. Ce n’est jamais possible que ce soit de notre propre faute que quelque chose complètement négative fasse partie de cette parfaite bulle dans laquelle je me sentais si bien. Il est doublement plus difficile d’accepter d’admettre qu’on est responsable ou bien ne même plus y penser lorsqu’on a la trouille – pas comme dans la musique des années soixante-dix, non monsieur!-  et avoir le courage de reconnaître que l’on a causé  de la frayeur, ou bien tout simplement dire, “Je m’excuse”.  Le pardon est divin, mais dire cette dernière phrase semble devenir de plus en plus surhumain ou bien quelque chose de semblable. Je présume, que si cette réalité serait contraire, les psychologues ainsi que toutes les différentes sortes de thérapeutes se trouveraient au chômage.

La vie n'est pas un jeu de cartes

Les dimanches, d’habitude je finis la semaine – ou je la commence tout dépend de votre point de vue préféré – en allant à la messe dominicale. C’est une bonne opportunité de réfléchir, et pour la spiritualité, spécialement  lorsque notre courageux leader de la communauté semble être hors contexte des temps modernes. Néanmoins, le week-end dernier, l’homélie s’est donnée à la perfection  avec les pensées que j’avais dans ma tête dans ce moment précis. Il est possible, qu’il soit rentré dans mon blog pour apprendre davantage  à  l’égard du pratiquant favori? Ne m’en voulez pas! Il a encouragé la congrégation à voir au-delà du “Moi” dans les aspects de la vie et profiter de l’esprit chrétien de communauté et de partage. Quelque chose qu’il a mentionné et m’a vraiment secoué, ce fut: “Nous croyons toujours que nous sommes si indépendants des autres et nous nous rendons jamais compte du nombre d’interdépendances que nous avons”. Cette phrase est vraiment sage et je tiens à la passer à mes enfants et les générations à venir, de la même façon que ma pensée de Pay It Forward.

Le besoin pour les choses matérielles et de ne pas se laisser vaincre par les camarades, est implacable, dès qu’on apprend à marcher et à parler. Comme le frère et la sœur qui sautent la corde à danser sur le trottoir, le premier qui arrête dira: “J’ai fini. Je rentre chez MOI!”.

Par exemple:
               a)     J’aimerais avoir une meilleure voiture.
               b)     La télé de mes copains est plus grande que la mienne.
               c)     Le mari de mon amie est plus sympa que le mien, ou
               d)     Tout ce que l’on vient de citez précédemment.

Les étudiants de licence en économie apprennent l’importance d’un libre marché et la compétition, est un fait de valeur juste. Allez raconter aux gens de l’Eurozone! Même au Canada où l’on compte avec de nombreux monopoles, on nous apprend cela dès le début. La Campagne des relations publiques pour le “Je” se remonte, pour nous faire croire qu’éventuellement, nous sommes tous capables de risquer a Bay Street (Le Wall Street canadien) et se faire beaucoup de pognon et des dividendes exceptionnels, bien qu’il y ait peu de banques dans tout le pays.

La vérité est que les interdépendances existent toujours. Prenez par exemple le CEO de HSBC.  Aurait-il un job avec toute la richesse qui vient avec le poste, sans compter avec la souris de laboratoire qui travaille dans le centre d’appels de service à la clientèle?  Michel-Ange aurait-il pu peindre la Chapelle Sixtine sans avoir eu l’aide d’ouvriers pour la bâtir? Quand nous décidons de donner le pas gigantesque dans une relation romantique qui nous mène au mariage, les deux personnes doivent se compromettre à être ensemble toute la vie. Le jour que je me suis marié, le prêtre n’a pas commencé par un processus de négociation pour dire que ma femme et moi allions être mariés, pendant soixante ou quarante ans ou bien de trente a soixante-dix ans, pour ensuite nous séparer. Au lieu, ce fut un accord de vivre en harmonie et d’être là, l’un pour l’autre, malgré les circonstances. Même la sainteté du mariage n’est plus la même chose et ce n’est qu’une victime de plus ajoutée à la maladie de l’individualité. Les femmes et les maris tiennent des comptes de banque individuels comme pour établir et renforcer un sens de compétition entre les deux. Mais, attendez une minute…!  Lorsque vous avez tout formalisé, étiez-vous d’accord à partager votre vie ensemble?  De nos jours, on dirait que les gens on besoin d’être fermement convaincus que travailler ensemble les mènent à la réalisation de projets plus importants pour leur bien commun. Trouver de bons emplois est toujours un besoin. Rome n’a pas été édifiée dans un jour par quelque sorte de intervention divine par le grand homme des cieux (vous n’avez qu’à regarder le ciel pour vous rendre compte que vous regardez dans la bonne direction).  Pour bâtir ses colonnes toutes droites on a eu besoin d’un grand nombre de personnes et avoir un gouvernement pour les gérer pour les gens qui les apprécient et non pour les gens malpropres et démodés appelés “Barbares”.

Chaque un à son métier et les vâches seront bien gardées

Je présume que ce que j’essaye de dire est: qu’un grand nombre parmi nous oublie pourquoi nous sommes là où nous y sommes et en même temps  nous remercions  ceux qui nous on aidé à arriver où nous y sommes. Ce ne fut pas une question de chance ni les circonstances, ce fut grâce aux gens de notre équipe qui nous stimulent à devenir chaque jour meilleurs.  Les gens qui nous entourent, contribuent d’un façon ou l’autre, à notre existence, et devrions être toujours prêts à les remercier, les pardonnez et demander pardon. Quand un leader d’une communauté gâche tout, il serait plus facile (et mieux), devrait passer aux aveux pour tout arranger, au lieu de laisser que tout l’entourage prenne feu à cause de son orgueil et dire «Désolé mec!». Bien que nous soyons dirigeants, partisans, épouses, maris, gestionnaire de projet, prophète, frère ou sœur, nous en avons tous des interdépendances auxquelles nous devons être surveillants, et comme tel, reconnaissants qu’ils forment tous partie de notre vie. Il n’y a qu’une seule vie. Le temps que nous allons passé sur la planète, n’est pas notre propre décision, alors il faut bien en profiter tant qu’on y peut. Il y a quelques problèmes que l’on peut pas éviter, certainement nous aimerions tous avoir un peu moins de stress, soit parce que nous le causons à quelqu’un ou bien à nous mêmes. Aurrera, nire jarrailek!

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