Un enfant de troisième culture (TCK/3CK) ou enfant trans-culturel est "quelqu'un qui, pendant son enfance, a consacré une longue période de sa vie dans une ou plusieures cultures autres que sa propre, intégrant ainsi certains éléments de ces cultures avec celle sa naissance créant une troisième culture."

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dimanche 26 juin 2011

Tahiti - Attention, il y a le cyclone!

L’Océan Pacifique est titulaire d’îles isolées créées au fil des siècles par la Dame Nature et les éruptions volcaniques. Parmi celles-ci se trouve le paradis tropical appelé Tahiti, notre deuxième destination lors de notre aventure polynésienne. L’aéroport international a été le point d’entrée après un long voyage par Hanga Roa. Le vol a été amusant puisque nous avions comme compagnie pendant le vol, le film Mambo Kings, pour la deuxième fois. Tahiti est le centre administratif du territoire français Outremer des îles du Vent. Cet archipel est fameux à cause des plages uniques au sable noir en plus des petits paysages montagneux. Les premiers colons étaient Polynésiens et sont arrivés dans la région environ 300 ap.J-C, on peut admirer leur style d’architecture et le voir partout même dans la capitale, la ville de Papeete. Â vue d’oeil, le 70% de la population totale est indigène et le reste comprend des Chinois, des Européens ou un mélange, connu sur place sous le nom de demis. Tahiti a été proclamé territoire français en 1880 et par conséquence, la seule langue officielle est le français. Cependant, la langue maternelle Reo Tahiti, était à priori, la langue de travail pour la majorité des habitants. Tahiti est situé à 4400 km (2734,03 m) au sud de Hawai, 7900km (4908,83 m) à l’ouest du Chili et 5700 km (3541,82 m) à l’est de l’Australie. L’île est entourée par une route principale, encerclant une haute montagne vêtue d’une dense forêt tropicale d’un côté et de l’autre le merveilleux litoral, de quoi se régaler. Le climat ne change pas trop au long de l’année et les saisons se déterminent par la saison sèche et la saison des pluies. Les jours que nous avons passé sur cette île lointaine,  furent pendant la saison des pluies.

Le Truck, le transport de Papeete

Le lendemain matin, lorsque nous nous mettions à table pour le petit-déjeuner avant de commencer nos vacances mouvementées à Tahiti, et lors d’une matinée au ciel sombre, accompagnée de vent et une grande averse, nous ont dit bonjour. Pendant que nous étions en train de dormir confortablement dans nos lits lors de notre première nuit à Papeete, une tempête tropicale était venue s’installer sur l’île en paralysant ce paradis. Les boutiques, les plantations, le trafic aérien, et à notre grand désarroi, les traversiers étaient tous fermés. Nous avions prévu de faire la traversée à Moorea, située à 9 km au nord-ouest. à bord d’un petit bateau tout plein de jolies couleurs mais il avait été annulé jusqu’à ce que le typhoon serait passée. Mon père n’a pas perdu l’espoir et il nous a fait courir à droite et à gauche sur l’île afin de trouver un bateau, ou bien un avion ou n’importe quel autre moyen de transport pour traverser la baie. Même, à la limite, un petit bateau de pêche avec un captaine ambitieux et courageux qui aurait pu nous aider dans notre dangereuse expédition. L’argent ne semblait pas avoir le même effet comme dans d’autres endroits. C’était remarquable et en même temps sans aucun bénéfice pour nous, malgré tout mon papa insistait même après avoir essayer toutes les options disponibles. Je suis sûr que si nous n’avions pas eu des bagages, il aurait persévérer et nous aurait fait nager les neuf kilomètres pour arriver jusqu’à Moorea. Au bout de quelques heures, après que tous et chacun des locaux nous disaient «Attention! Il y a le typhoon».  Mon papa se rendut compte qu’il n’y avait rien à faire et abandonna cette idée. Nous pouvions voir sa tête, c’était très dur pour lui de l’accepter, même si  nous avions tout le reste renoncé à cette idée depuis longtemps, en faisant confiance aux connaissances des Tahitiens vis-à-vis l’océan et le climat. En même temps, nous y étions près mais loin à la fois. Je me souviens que mon père nous montrer l’île à partir du port en nous disant: «C’est là où nous voulions aller». Que peut être aussi frustrant que de voir l’objectif sans aucune façon d’y atteindre! Il y a toujours une raison pour tout, et dans ce cas, la bonne chance était de notre côté. Ces tempêtes peuvent durer quelques jours et les seules informations dont nous pouvions obtenir étaient, que notre hôtel à Moorea, un endroit pittoresque construit sur des pilotis, avait était emporté dans la mer d’un bleu profond.

Comme nous étions abandonnés sur l’île, nous avons décidé de tirer le meilleur parti d’une mauvaise situation. Nous avions déjà vu le front de mer lors de notre enquête de transport pour aller à Moorea; certains beaux hôtels et boutiques étaient fermés à cause du typhoon. Ce ne fut pas le moment pour embarquer sur un navire de croisière non plus, et je n’enviais pas les gens qui chancelaient sur l’océan contre les grands vents, et les vagues qui contrôlent chaque mouvement. Décidément,  l’endroit où il fallait y être était de rester où nous étions. Nous avons trouvé un petite épicerie où nous avons acheté des sandwichs style français, le fameux «Croc Monsieur», ils étaient délicieux, sûrement c’était à cause du fait que nous avions eu du mal à trouver des restaurants ouverts. Nous avions décidé qu’en prenant un bon repas, ceci nous permettrait de faire passer le temps, puisqu’il n’y avait rien d’autre à faire, mais même cela s’était avéré un exploit difficile. Un autre endroit qui semblait être parmi les seuls qui étaient ouvert ce fut un cinéma. Aucun des cinémas locaux étaient achanlandés (possiblement ce n’était pas une communauté qui aimait le cinéma) et nous n’avons pas eu de problème pour obtenir des billets pour un film appelé Navy Seals. Je suppose que les catégories d’âge n’avaient pas trop d’importance puisqu’il n’y avait pas grand choix et le public n’était pas nombreux. L’ambiance était semblable à celle de Cape Fear, où une famille était en train de regarder un film et la seule compagnie qu’ils avaient, était Robert de Niro et son cigare. Navy Seals avait pour vedette Charlie Sheen, le chef d’une force de l’élite, frappée par toutes sortes de conditions météorologiques défavorables pour mener des opérations secrètes au Moyen-Orient. En regardant le film, nous avons développé une empathie pour les héros, puisque nous nous voyions nous mêmes sur le film en étant coïncés sur l’île, pour la même raison dont ils luttaient, sauf pour les coups de feu, les bateaux de compétition zodiac et un ennemi à éliminer. Le film a pris seulement une heure et demie. Ensuite, nous avons pris un bus local, aussi connu comme Le Truck, un service propre, respectueux et amical. Nous avons demandé à la femme qui conduisait le bus, si elle pouvait nous approcher de l’hôtel et comme nous étions les derniers passagers, elle nous a déposé à la porte de l’hôtel. Les habitants étaient serviables, compatissants, et semblaient faire tout leur possible pour être aimables envers les gens. Je suppose qu’ils se connaissent entre eux et c’est ce qui fait qu’une communauté soit plutôt amicable, et non comme dans les grandes villes du monde où tout le monde semble pressé ou inquiet vis-à-vis leur status afin de déterminer avec qui ils vont se mêler. Ce comportement n’avait rien à voir avec ces habitants.


Le lendemain matin,  toujours aucun signe que le mauvais temps partirait.  L’idée d’aller à Moorea semblait de plus en plus vague. Pendant que nous prenions notre petit-déjeuner mon père planifiait notre journée. À chaque fois que mon père se rendait compte que Moorea n’était plus question d’y aller, il y avait toujours un manque d’idées accompagné d’une certaine frustration pour dire ce que nous allions faire. Il a décidé de louer une voiture pour faire le tour de Tahiti. La location de voiture a été vraiment utile pour nous rendre jusqu’aux Jardins botaniques. Nous avons pensé qu’il serait formidable d’aller nous promener dans la nature de tout près par nos propres moyens. Après tout, l’endroit avait l’air extrêmement tropical et c’était quelque chose dont nous n’avions pas au Chili. Au moment de stationner la voiture à l’entrée des jardins, nous sommes tombés sur un panneau annonçant que, le parc était aussi fermé à cause du typhon. Nous nous sommes posés la question, si cela ne serait qu’une excuse pour prendre un jour de congé, et tout blâmer sur les conditions météorologiques. Alors, il a fallu chercher une autre chose à faire. Ma mère était un très grand peintre et a eu l’opportunité de peindre de fabuleux paysages pendant notre affectation au Venezuela, elle a pu également poursuivre ce talent pendant son temps libre au Chili. Comme artiste et française en même temps, il y avait un trésor spécifiquement pour elle à Tahiti. Notre prochain arrêt était la Galerie Paul Gaugin. Ma maman a dû être en train d’imaginer les chefs-d’oeuvre qu’elle allait bientôt voir, lorsque nous étions en chemin vers la galerie. Gaugin est né à Paris, en France, vers les années 1800, il était reconnu comme le principal peintre postimpressionniste. Il avait passé plusieurs années dans la Polynésie française, illustrant le peuple tahitien à travers son propre style. Il semblait être séduit par la culture du peuple, et finalement, il est mort quelque part dans les colonies. À notre grande surprise, l’endroit était ouvert, sauf que ma maman avait l’air déçue parce que tous les tableaux dans la galerie étaient des copies des originaux. Nous étions tout contents d’avoir trouvé un endroit ouvert!


Maman, Brian et moi avec notre hotel à l'arrière plan

L’un des souvenirs le plus drôle que je garde de ce voyage après avoir y été au musée et de retour envers Papeete pour completer tout le tour de l’île, nous avons fait un arrêt sur la route. Du côté droit de la route, nous avions de la pluie toute fine tout au long de la côte et d’énormes vagues qui élataient en même temps, et à gauche, une falaise avec un petit trou dans le fosse à côté de la route. Cela, ce fut le trésor de mon père. Quand les vagues viennent s’écraser contre la côte, elles son en fait en train de frapper contre système plein de trous et de caves de la côte. Le rocher volcanique qui a l’air à du fromage Gruyère (semblable au fromage des dessins animés tout plein de trous) et si les perforations fournissent des conditions convenables pour que quelque chose vienne s’installer dans les trous., il existe l’effort du brouillard qui essaye de sortir à l’autre bout. La force de chacune des vagues créait des raffales de pression en produisant un son de tambour dont nous avons examine de tout près. C’était The Blow Hole (en majuscule du fait de l’importance qui représentait pour mon papa). La brume provenant en toute harmonie de la marée de l’océan, quelque chose qui frappait mon père d’une certaine emotion à chaque fois. Il voulait à tout prix prendre en photo ce  témoignage avec son appareil de photos.  Il donna des instructions à Brian et moi pour nous mettre comme avant plan pour ainsi avoir un témoignage vivant que les Bickford avait trouver ce magnifique Blow Hole (Trou soufflant). Mon frère et moi avons refuse de bon gré son invitation parce que nous n’avions pas envie de nous mouiller, mais ma maman très maline et au lieu encouragea mon papa pour se faire prendre en photo. Comme résultat, mon père raconte toujours l’histoire avec un grand sourire, en faisant mémoire de cette affreuse brume terriblement salée qui l’enhavit d’une affreuse humidité dans ses pantalons que la brume du fameux trou lui avait craché. Il finit toujours de raconter  l’histoire avec un joyeux rire. La vie est faite pour garder des beaux souvenirs et je n’oublierai jamais combien nous nous sommes amuses même si nos projets étaient tous improvises. L’histoire du trou soufflant est digne de la faire passer de generation en génération.

dimanche 19 juin 2011

Île de Pâques - Le pays des géants

Mon rêve d’y aller dans le pays des Moais est devenu une rélité en 1991. Les Bickford étaient partis faire un voyage polynésien pendant les vacances de Noël et le Jour de l’An. Avant de commencer avec l’histoire de notre excellente aventure, en fait la meilleure, j’essayerai de respecter la structure de mes publications en vous donnant  une briève information préliminaire de ce minuscule point qui se trouve au Sud du Pacifique sur la carte. L’Île de Pâques – aussi connue comme Rapa Nui ou bien le Nombril du monde – celui-ci est un territoire chilien spécial qui a été incorporé en 1888 et c’est l’île habitée la plus isolée dans le monde. Lorsque nous habitions au Chili, cette île était administrée par le gouvernement de la Région V à partir de Valparaiso. On dirait qu’en 2008, l’île négociait, à fin d’obtenir son propre gouvernement. Je  ne suis pas sûr de la suite de ce processus. Le Chili continental est situé à 3510 km (2180 m) à l’Est  et ses plus proches voisins habitent à l’Île Pitcairn à seulement 2075 km (1289.35m) de distance. Le reste des voisins ne sont pas nombreux et se trouvent dans une île inhabitée comme la  fameuse Île Robinson Crusoe avec ses crustacés et ses poissons. Les habitants ont subi la guerre civile, le colonialisme,  la déforestation, une série de famines, d’épidémies, l’incursion d’esclaves et la guerre civile. Au moment dont nous avons visité l’île, elle comptait avec une population de milliers d’habitants, essentiellement d’origine autochtone. Des gens fiers de leurs traditions et de leurs racines.
Les Bickford à Rano Raraku
En nous approchant de notre première destination polynésienne, nous pouvions voir par la fenêtre de l’avion un mélange de petites collines et des cratères volcaniques tout au long de l’île quasiment improductive. L’aéroport  avait la piste d’atterrissage la plus courte jamais vue, elle était construite sur une pente afin que les avions puissent atterrir et décoller sans avoir besoin d’une plus longue. L’île même est particulièrement petite, avec une extension approximative  de 163 km2 (ou 63.1 m2). La ville de Toronto sans prendre en considération  la grande region métropolitaine, compte avec une superficie de 630 km2 (243.2.m2). Bref, se déplacer dans l’île nétait pas une tâche difficile, même si l’on considère le terrain naturel accidenté. Mon père avait fait des réservations à  partir de Santiago pour une visite guidée, de sorte qu’un guide était à l’aéroport pour nous acceuillir et nous conduire à l’hôtel pour nous installer et laisser nos valises. Je ne peux pas me rappeler de l’immeuble ni de son nom et les chambers n’avaieant rien d’extraordinaire. Les lits ressemblaient à ceux que l’on trouve dans les hôpitaux et les murs étaient d’une couleur grise impersonnelle. Les fenêtres étaient petites. C’était le genre de chambres qui encourage le touriste à passer plus longtemps en train de visiter les lieux et les endroits d’intérêt. C’est exactement ça ce que nous avons fait. Notre premier jour a été pratiquement une mission de scoutisme pour voir ce qui était près de notre hôtel et le village principal de Hanga Roa. Nous avons marché jusqu’à l’aéroport, et nous avons parcouru la ville de la capitale avec l’espoir de trouver un joli restaurant ou un marché. En fait, nous avons trouvé une boutique d’artisanat avec tout plein de figurines tallées à la main et d’autres souvenirs pour les gens qui étaient de passage et qu’ils puissent emporter une petite partie de l’île avec eux comme souvenir..
Les jours à  suivre, étaient dévoués à visiter plusieurs endroits dans la petite île. Notre guide, un jeune homme de l’endroit, est venu nous chercher  le matin de bonne heure et il possédait  une merveilleuse connaissance de l’histoire semblables à un tas d’histoires de fées. Je ne me faisais pas trop de souci quant à la narration à l’époque, puisque tout ce que je voulais voir c’était mes copains les Moais dont j’avais appris à l’école. Cela n’a pas pris longtemps pour voir les premiers une fois que nous étions en chemin dans la fourgonnette du tour. Je me souviens  l’émotion que j’ai ressenti lorsque cela se produisit et j’ai annoncé la nouvelle de ma découverte à tout le monde qui nous accompagnait dans le groupe. Ces Moais sont des statues d’être humains qui ont été sculptées de rochers volcaniques et qui datent des années 1200 A.D. Le centre de production principal des anciennes tribus était entièrement couvert de monuments qui avaient été complétés et d’autres ne représentaient que l’éternel  travail inachevé. C’est difficile d’imaginer les outils qu’une civilisation aussi isolée a pu utiliser pour tailler ce matériel rugueux car, indépendamment des géants Moais, aucune autre construction remonte à cette ancienne époque. Quels outils ont-ils utilisé pour tailler ces magnifiques géants? Pourquoi étaient-ils obsédés de créer autant de ces répliques d’homme? Quel était le but de ces géants? Tellement de questions avec des réponses perdues dans l’histoire. Il est étonnant de se mettre debout face à ces géants qui ne peuvent pas aider à expliquer leur existence. Leurs têtes curieusement énormes sont disproportionnées par rapport à leur taille et l’observateur peut être laissé à se demander s’il s’agissait d’une élan artistique ou bien peut-être les gens vienne de gênes différents à ceux dont nous connaissons de nos jours.
Il y a environ 900 statues de différentes tailles situés dans l’île et d’autres dont les étrangers ont remporté pour les exposer à travers le monde. Lorsque j’ai visité le British Museum à Londres en Angleterre, j’en ai vu un en exposition et cela m’a apporté de très beaux souvenirs des gens de Rapa Nui. Un des plus grands Moais que nous avons vu lors de ce voyage mesurait à peu près10 mètres (33pds.) et pesait près de 80 tonnes. Avec une île si peu peuplée, c’était difficile imaginer des gens à l’époque en train de déplacer ces monuments de Rano Raraku à d’autres endroits sur l’île. Peut-être ils ont des gênes semblables à ceux de Arnold Schwarzenegger. Notre guide nous a dit que les anciens habitants se servaient de troncs de palmiers comme roues sous les statues pour les déplacer d’un côté à l’autre de l’île, une raison pour laquelle ces arbres étaient presque inexistants dans l’île. Cet argument semblait une possibilité. La construction de monuments semblait avoir été interrompue, tel comme la plus grande structure qui aurait pu mesurer bien des fois plus que la taille du Moai le plus grand. Quelques-uns des monuments avaient aussi un pukao classique, un mot autochtone qui veut dire chapeau. Le pukao était taillé de rocher volcanique également. Les géants semblait avoir l’air d’essayer de communiquer avec les gens de l’endroit car la plupart regardent vers l’île. Il y avait juste un set de Moais sur une grande plateforme en pierre appelait ahu, regardant vers l’océan. Cette puissante déclaration de protecteurs n’était pas expliquée par l’éruption volcanique selon une ancienne légende, ou au moins aucune version de l’histoire d’ancêtre a survécu à travers les générations. Les sculptures et les pétroglyphes nous laissent avec un grand énigme de cette ancienne culture ou bien avec la question à nous poser de la raison pour laquelle les projets ont été abandonnés.
Brian et moi avec notre ami Moai

Ma famille et moi, avons apprecié tous les endroits et nous étions convaincus que le temps que nous avons passé dans cet endroit, nous a donné une très bonne perspective des lieux d’intérêt de l’île. Nous avons été au long de la côte pour déjeuner dans un endroit tranquille cet après-midi là sur Anakena. Cet endroit était une des seules plages sableuses dans tout l’île et avait deux ahus avec des Moais qui protégeaient l’accès à l’océan. Nous nous sommes assis avec le groupe qui était avec nous dans le tour, il y avait des tables genre nord-américain, nous avons mangé notre lunch qui venait dans un sac sous le soleil chaud. Plus tard, nous avons marché en bordure de l’océan, également un des endroits qui avait quelques palmiers, c’était là où Brian et moi avons pu mettre les pieds dans l’eau dans l’eau rafraîchissante de l’Océan Pacifique. Lorsque nous étions en train de jouir de l’eau fraîche, Brian commença à chercher dans le sable des nouveaux articles pour sa collection de pierres. Papa et moi l’avons suivi en espérant trouver un grand trésoir pour mon frère. Peut-être nous allions trouver un tout petit Moai! Pendant notre la chasse au trésor, Brian a marché sur une corail et il a coupe une de ses orteilles et tout d’un coup, il y avait des traces rougeâtres dans l’eau de l’océan. Heureusement, maman n’était pas trop loin pour laver la plaie avec l’eau salée et lui a fait un bandage à l’aide d’un mouchoir. Je me rappelled que je marchais à côté de Brian pour l’aider à marcher en s’appuyant de mon épaule pour garder l’équilibre. Maman avait dit que s’était mieux qu’il ne mette pas son pied par terre pour éviter la plaie de salir. Elle allait être capable de nettoyer la plaie comme il faut une fois rendus à l’hôtel. Elle portait toujours une trousse de secours. Après Anakena, nous rentrerions à l’hôtel pour nous reposer et continuer le lendemain notre aventure polynésienne. Nous avons quitté nos nouveaux copains Moais, sauf pour un tout petit taillé un bois que nous avons acheté au marché d’artisanat. Actuellement, il surveille nuit et jour le sous-sol de chez mes parents à Ottawa au Canada.

dimanche 12 juin 2011

Le Terrorisme frappe chez nous

Au début des années 1990, quand les militaries commençaient à relâcher leur emprise dans la vie quotidienne de la population chilienne, l’activité de gauche augmentait son niveau de vivacité. Comme c’est le cas dans plusieurs pays autour du globe, les Américains étaient souvent ciblés pour la violence ou l’intimidation. Au cours des dernières décennies, la politique étrangère des États-Unis devait se retrouver internationalement avec l’opposition du fait que ce pays représentait possiblement la puissance la plus visible engagée dans les pays étrangers. Beaucoup de gens croient que les Américains devraient limiter leur participation extérieure et s’abstenir à s’engager dans des conflits armés. Lorsque de tels gouvernements prennent un rôle international majeur pour favoriser des amitiés internationales, ceci devient une rude bataille. Des mouvements de gauche comme le Movimiento Juvenil Lautara et le Frente Patriótico Manuel Rodríguez ont été actifs au Chili et nommés dans les circles diplomatiques locaux pour leurs idéologies. Ces groupes avaient organisé des coups stratégiques contre les employés de l’Ambassade des États-Unis, les officiers militaires, les politiciens chiliens et autres groupes vus comme pro-américains ou pro-Pinochet. Les forces de sécurité chiliennes et leurs rangs n’avaient subi aucun changement depuis le régime de Pinochet pour fournir à la guerrilla communiste une opposition de droite loyale et modérée. Leurs priorités comprenaient toujours combattre les éléments subversifs et d’insurrection pour ainsi démontrer que tant la police comme l’armée pourraient encore faire régner l’ordre à tout prix.
Les Carabineros: Les policiers chiliens

Des personnes de la communauté d’expatriés étaient conscients des dangers potentiels de la lutte en cours gauche-droite. Tout le monde a eventuellement écouté les histoires d’horreur, ce fut  plutôt du bouche à oreille au lieu de les apprendre par les nouvelles du soir. Les medias du pays étaient efficacement gérées afin d’éviter de semer la panique à leurs téléspectateurs. Dans aucun cas, nous avons vécu un état de guerre civile, cependant la presse ne faisait aucune allusion à certains événements dignes d’attention. De nombreux journaux internationaux, les chaînes de télévisions et les postes de radio avaient été dépouillés de personnalités de gauche-droite et étaient contrôlés par l’élite de classe supérieure. Ces riches entrepreneurs avaient appuyé le gouvernement militaire et n’avaient pas d’intérêt de revenir à un environnement socialiste. Nous entendions parfois des explosions, près de chez nous, suivies par une panne de courant; des événements dont nous pouvions facilement mettre ensemble et nous rendre compte de ce qui se passait. Pour une certaine raison, il n’y avait pas de nouvelles comme suite à ces événements pour apprendre qu’elle était la raison de l’explosion ou de la panne d’électricité. Ni le MJL ni le FPMR disaient absolument rien de leurs réussites, ce qui voulait dire que les déclarations seraient sous les soins du gouvernement. Ceci était un exemple parfait du contrôle à l’accès des médias et une modification mineure à la liberté d’expression afin d’assurer un minimum de dommages sociaux collatéraux. Ceci me fait penser aux devinettes que mes amis disaient tout le temps: «Si un arbre tombe en plein milieu d’un endroit où il n’y a rien, même pas une seule personne comme témoin, est-ce qu’il fait du bruit?» En d’autres mots, si les médias n’arrivent pas à couvrir un événement, est-il vraiment arrivé?
Une grande partie de la presse non publiée, dont ma famille était en mesure d’obtenir, semblait gérer des histoires lorsque je suis devenu plus grand, à propos de certaines attaques qui ont eu lieu à Santiago ainsi que la façon de se rappeler de ces évenements semblables au film Pulp Fiction: de nombreuses histoires racontées dans un ordre différent qui faisaient du sens une fois tout avait été dit. Parmi ces histoires, il y en a une dont mon papa a partagé avec moi, à propos d’une attaque envers la force militaire des États-Unis au moment de quitter l’enceinte de l’Ambassade. Un rebel de gauche, armé d’une roquette anti-tanque attendait de l’autre côté de la rue l’automobile des Américains pour les voir mieux. Une fois que le combattant de la liberté avait la cible verrouillée, il ouvrait feu tirant sur une fusée qui a percé l’épais pare-brise. À l’intérieur du véhicule, il y avait deux officiers qui regardaient la fusée qui semblait être coincée dans le pare-brise et a échoué à détoner à l’impact. Mon père m’a expliqué que certains des armaments exigent une distance considérable entre la cible et le tireur pour que les explosives s’activent: autrement, les armes ne s’activeraient pas et par conséquent il n’y aurait pas de détonations par la suite. Les voisins américains ont eu beaucoup de chance, le terroriste n’avait pas calculé une distance appropiée à la cible et a vécu pour partager l’histoire de la tentative d’assassinat qui a échoué. D’autres n’ont pas joui d’une chance semblable et indépendamment de leur origine nationale ou allégeance politique, ceci a laissé des familles avec des blessures difficiles à guérir.
L’événement qui a frappé de très près chez nous c’était à l’occasion d’un match de softball. Les Américains à Santiago organisaient souvent des événements pour leurs compatriotes et invitaient les Canadiens de temps en temps. Ceci comprenait également une ligue de joueurs amateurs de softball pendant les week-ends, les marins des  États-Unis et les missionnaires mormons y participaient et le Canada avait formé une équipe cette fois. Quelques joueurs étaient de l’Ambassade du Canada, autres étaient des hommes d’affaires ou bien des amis des joueurs y participait aussi. Selon ma propre expérience compétitive avec ce genre de tournois, l’accent sur les Canadiens semblait être de fraternité et une occasion pour s’amuser au lieu d’essayer de devenir des champions. D’autres équipes orientent leurs aspirations par rapport à la mentalité qu’ils ont en commun, puisqu’il y a toujours des gens qui préfèrent gagner, autrement ils ne s’amusent pas. Nos Canadiens étaient en action tous les week-ends sauf ma famille, je n’ai jamais été voir les matchs. À l’époque, mon père semblait ne pas aimer les jeux organisés. Lors d’un match, un week-end du mois de novembre de 1990, nous étions en train de jouir d’un week-end tranquille en famille chez nous à Las Condes. L’après-midi, il y eut un appel au téléphone pour mon papa, ce qui nous a semblé à tous étrange. D’habitude, mon père était libre les week-ends. On lui a demandé d’aller à un hôpital et il s’est précipité à partir aussitôt sans savoir même pas la raison. Il connaissait l’un de ses collègues Pierre Alarie parmi les gens qui étaient à l’hôpital et il a pensé que c’était bizarre.
L'école américaine Nido de Aguilas

Mon papa nous a expliqué plus tard qu’il y avait eu l’explosion d’une bombe pendant le match de softball des Canadiens en tuant un joueur canadien et blessant plusieurs Canadiens et Américains. Apparemment, quelqu’un avait mis une bombe dans une batte d’aluminium dont on s’en servait pour le match. La bombe était supposée d’exploser lors du suivant match ,car c’était le tour aux marins des Etats-Unis selon le programme, mais tout au plus, le jeu de l’équipe canadienne avait eu des tours de batte supplémentaires. On dirait, qu’un juge-arbitre a fait un mauvais appel ou bien quelque chose avait agacé les Canadiens et ils ont tous quittés le banc à l’exception d’un qui est resté assis à côté de la batte, ainsi qu’un Américain qui était en train de faire des exercices de réchauffement. Sinon, plus de gens seraient morts ou bien auraient été blessés. Pierre Alarie a reçu des debris sur la partie de derrière de la tête, Frank Arsenault a eu le pied blessé par des éclats et un Américain a perdu un oeil. Le Canadien qui est mort, était un ami de Pierre qui était en visite au Chili, en train d’essayer de trouver des opportunités d’affaires et n’aurait jamais dû être dans le match. Aucun groupe terroriste semblait prendre la responsabilité pour l’attaque, mon père pense que c’est parce que les Canadiens n’étaient pas supposés d’être  la cible et la police n’a jamais investigué en profondeur  l’événement. Je connaissais les deux Canadiens blessés et je me souviens que cet événement à changer ma façon de les voir pour de bon. Je me souviens des deux avec une certaine émotion et j’ai retrouvé Pierre lorsque je travaillais à Mexico au début des années 2000, qui a remercié mon père une fois de plus pour le soutien qu’il lui a donné lors de l’explosion de la bombe à Santiago. Frank était parti à la retraite et travaillait comme sous-traitant au Guatemala, ce que j’ai appris également par mon travail et j’ai profité pour lui envoyer un courrier électronique.

dimanche 5 juin 2011

Un monde sans frontières

Les deux premières années à Santiago ont représenté une excellente opportunités pour me parents pour élever Brian et moi et devenir des jeunes gentlemen. Les canadiens d’un bout à l’autre du pays généralement sont amicaux et accueillants les gens sauf que le protocole et l’étiquette deviennent de moins en moins importants pour une grande partie de la population et voient cela comme «snob». Il y a un groupe plus petit de personnes qui prennent un côté extreme, en s’entourant d’articles chers et procurent des services somptueux, les menant à une auto-proclamation d’appartenance à l’élite. Ces individus généralement associent la qualité avec l’étiquette du prix qu’ils ont payé. Mon frère et moi avons été élevés de façon à apprécier la qualité des choses et leur utilité et non le prix, et respecter la façon d’être de tout le monde sans prendre en considération leur situation financière ni la place qu’ils occupent dans la société. Nous étions très sociables et capable de cultiver l’amitié avec tout le monde qui voulait et pouvait communiquer avec nous. C’est quelque chose qui m’a permis de me sentir confortable dans n’importe quel milieu à partir d’un groupe d’orphelins handicapés  jusqu’à une salle pleine de politiciens et de dignitaries étrangers.
Maman, Mémé et moi devant La Moneda

Lorsque les réceptions et les cocktails avaient lieu chez nous, le protocole dictait que les hôtes devaient rester à l’entrée de chez eux ou bien l’endroit désigné si c’était ailleurs pour acceuillir les invités. Le protocole n’est pas une question de snobisme mais un ensemble universel de procédures qui garantissent les hôtes et les invites à être sur le même pied d’égalité en matière de respect vers l’un et l’autre. La plupart de ces occasions, Brian et moi portions nous plus beaux vêtements et nous restions debout à côté de nos parents pour serer la main à tout le monde. Combien de jeunes enfants joue ce role d’hôte, en acceuillant les gens à la porte d’entrée en disant «Enchanté» et nous devions  ajouter «C’est un plaisir faire votre connaissance» à chaque fois. Des fois, le personnel de l’ambassade qui nous connaissait déjà échangeait un ou deux commentaires amicaux avec Brian et moi. À Santiago, Brian et moi avons conquéris le cœur de beaucoup de gens de l’ambassade, comme la plupart par eux avaient des enfants à l’âge de l’adolescence ou bien plus vieux. Nous étions toujours à l’étape d’être mignons. D’une certaine façon, nous étions les enfants de l’ambassade. La façon de procéder après le rituel d’accueil, il fallait rencontrer et saluer les invites brièvement ou bien nous devions rester debout à côté de nos parents en train d’écouter ce que les personnes adultes disaient. Une importante habileté à acquérir car elle m’a aidé à comprendre comment marche la formalité diplomatique et apprendre en même temps des expressions  spécifiques. Une fois les invites appelaient pour passer à table pour le diner, Brian et moi nous nous excusions et nous allions dans la cuisine pour manger et après nous reprenions tout doucement et sans faire du bruit notre propre soirée. Dans certaines occasions spéciales, nos invités jouirraient d’un petit concert, les jeunes Bickford jouaient le piano en duo.
 
Le fait de vivre dans un milieu homogène et enrichissant, a été une excellente opportunité pour encourager Brian et moi à adopter certains aspects culturels propres du Chili. Cependant, nous avons également pu profiter d’un environnement multicultural dû aux expatriés qui souhaitent bâtir un chez eux dans leur nouveau poste à travers d’autres personnes et familles qui sont dans la même situation. Tout au long de mes experiences professionnelles, j’ai toujours eu l’impression que les expatriés peuvent être divisés en deux groupes assez différents. Le premier comprenant les personnes qui jouissent de leur nouvelle aventure et apprennent toutes sortes de nouvelles choses en ayant quitté leur pays. Ces individus sont généralement fascinés par ce changement dans leur style de vie et commencent à adopter certaines choses pendant du style de vie à l’étranger. Dans certains cas, ce genre de personnes n’oublient pas leur pays d’origine et ont une tendance à se sentir plus comme si c’était chez eux dans le pays hôte. L’autre groupe de personnes expatriées est complétement l’opposé. Le changement n’a pas été bon pour eux car ils continuent de chercher toutes les choses dont ils avaient l’habitude d’acheter ou d’obtenir dans leur pays d’origine et ne peuvent pas les trouver. Ils n’aiment pas ce que le pays hôte peut leur offrir et ils n’ont pas de rapport avec les gens du pays. Ils rêvent du jour dont ils pourront revenir chez eux. J’ai témoigné les deux cas et suis en faveur de premier. Les changements me passionne, c’est une façon de se découvrir à soi-même et jouir de rencontrer plusieurs gens qui ont un esprit ouvert et partagent leurs experiences de vie. Tout le monde a ses propres expériences de vie et les voit sous une différente perspective et un jour les connaissances font preuve d’être utiles.

Je n’ai pas établi de préférences ni pour les Chiliens, ni les Canadiens, ni pour certains expatriés. J’ai grandi en ayant très clair dans ma tête l’existence de frontières géographiques. Pourtant, j’ai eu un mélange de cultures entre mes Chiliens et tout le reste du monde. Dans ma propre famille, il existe déjà une grande diversité culturelle: anglaise, galloise, française, espagnole, belge et possiblement il y en a d’autres nationalités le plus loin je trace mon ascendance. J’ai de la famille au Canada, en Angleterre, en France, en Italie, au Mexique, en Espagne et aux États-Unis et bien sûr, les amis que j’ai rencontré tout au long du chemin qui deviennent la famille d’adoption. Les expatriés ont une chose en commun qui les unis: «Être loin de chez eux». Mes parents ont recontré de nombreux  politiciens,  diplomates, et hommes d’affaires de différentes formations professionelles et de divers pays lors des fonctions officielles. Le cercle d’expatriés, s’agit souvent d’une communauté très unie, qui a permis à Brian et moi faire des amitiés avec des enfants de notre âge de l’Argentine, la Belgique, le Canada, le Danemarque, la France, l’Allemagne, la Nouvelle Zélande, l’Espagne, la Suisse, et possiblement d’autres pays dont peut-être  j’ai oublié de mentionner. À tous ceux qui lisent cet article et qui n’ont pas été mentionnés, je veux vous présenter mes excuses et soyez rassurés, vous gardez un endroit bien spécial dans mon cœur. Je me rappelle très bien que Brian et moi avions établi une ferme amitié avec les filles de l’Ambassadeur de la Nouvelle Zélande qui parlaient un excellent espagnol, cependant elles ont étaient mes premières amies anglophones à cet âge. Quand nous quittions Santiago pour aller en voyage, nous avons retrouvé à plusieures reprises la famille Kiwi juste par hasard. J’étais très intrigué par leur accent unique qui ressemblait à celui de Mick Dundee, lequel était à la fois pas mal different.
Moi portant ma casquette du Canada faisant la garde sur Santiago

Au fur et à mesure que Brian et moi continuions notre immersion dans ces cultures diverses, nous nous sommes rendus compte de l’importance de notre comportement lorsqu’on rencontrait d’autres personnes, jeunes ou âgées, puisque nous représentions notre pays. Nous voulions que le Canada se sente fier de nous, même si cela représentait une seule personne ou bien toute la population. Je me souviens avoir reçu, l’année dernière, un message sur Facebook de mon ami et camarade de classe, Stéphane Simon, qui a était mon ami pendant les années que nous avons vécu à Santiago. Il s’est adressé à moi, en m’appelant, son ami canadien. C’est vraiment un honneur pour moi, qu’il se rappelle de moi, en représentant tout le pays. Comme résultat de ce lien intercultural, j’ai développé un sens d’empathie envers tous les nouveaux arrivés, en essayant de les aider à s’adapter à leur nouveau chez soi. Je suis devenu ami d’un enfant sud-africain et je me rappelle de lui très bien. Il était à peu près deux ans plus jeune que mes camarades et moi, mais je me suis occupé de lui pour le protéger et Stéphane s’est joint à cette idée. Nous l’avons inclu dans nos activités en souhaitant le faire sentir à l’aise et qu’il faisait partie du groupe. Me amis chiliens m’avaient mis l’exemple lors de mon arrivée avec leur incroyable accueil dès le premier jour à l’Alliance. Jusqu’à date, je persévère toujours avec ce geste d’amitié que j’ai acquis au Chili de pouvoir aider les gens pendant la période de transition dans leur chez eux provisoir, puisque moi je suis chez moi.