Un enfant de troisième culture (TCK/3CK) ou enfant trans-culturel est "quelqu'un qui, pendant son enfance, a consacré une longue période de sa vie dans une ou plusieures cultures autres que sa propre, intégrant ainsi certains éléments de ces cultures avec celle sa naissance créant une troisième culture."

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dimanche 19 juin 2011

Île de Pâques - Le pays des géants

Mon rêve d’y aller dans le pays des Moais est devenu une rélité en 1991. Les Bickford étaient partis faire un voyage polynésien pendant les vacances de Noël et le Jour de l’An. Avant de commencer avec l’histoire de notre excellente aventure, en fait la meilleure, j’essayerai de respecter la structure de mes publications en vous donnant  une briève information préliminaire de ce minuscule point qui se trouve au Sud du Pacifique sur la carte. L’Île de Pâques – aussi connue comme Rapa Nui ou bien le Nombril du monde – celui-ci est un territoire chilien spécial qui a été incorporé en 1888 et c’est l’île habitée la plus isolée dans le monde. Lorsque nous habitions au Chili, cette île était administrée par le gouvernement de la Région V à partir de Valparaiso. On dirait qu’en 2008, l’île négociait, à fin d’obtenir son propre gouvernement. Je  ne suis pas sûr de la suite de ce processus. Le Chili continental est situé à 3510 km (2180 m) à l’Est  et ses plus proches voisins habitent à l’Île Pitcairn à seulement 2075 km (1289.35m) de distance. Le reste des voisins ne sont pas nombreux et se trouvent dans une île inhabitée comme la  fameuse Île Robinson Crusoe avec ses crustacés et ses poissons. Les habitants ont subi la guerre civile, le colonialisme,  la déforestation, une série de famines, d’épidémies, l’incursion d’esclaves et la guerre civile. Au moment dont nous avons visité l’île, elle comptait avec une population de milliers d’habitants, essentiellement d’origine autochtone. Des gens fiers de leurs traditions et de leurs racines.
Les Bickford à Rano Raraku
En nous approchant de notre première destination polynésienne, nous pouvions voir par la fenêtre de l’avion un mélange de petites collines et des cratères volcaniques tout au long de l’île quasiment improductive. L’aéroport  avait la piste d’atterrissage la plus courte jamais vue, elle était construite sur une pente afin que les avions puissent atterrir et décoller sans avoir besoin d’une plus longue. L’île même est particulièrement petite, avec une extension approximative  de 163 km2 (ou 63.1 m2). La ville de Toronto sans prendre en considération  la grande region métropolitaine, compte avec une superficie de 630 km2 (243.2.m2). Bref, se déplacer dans l’île nétait pas une tâche difficile, même si l’on considère le terrain naturel accidenté. Mon père avait fait des réservations à  partir de Santiago pour une visite guidée, de sorte qu’un guide était à l’aéroport pour nous acceuillir et nous conduire à l’hôtel pour nous installer et laisser nos valises. Je ne peux pas me rappeler de l’immeuble ni de son nom et les chambers n’avaieant rien d’extraordinaire. Les lits ressemblaient à ceux que l’on trouve dans les hôpitaux et les murs étaient d’une couleur grise impersonnelle. Les fenêtres étaient petites. C’était le genre de chambres qui encourage le touriste à passer plus longtemps en train de visiter les lieux et les endroits d’intérêt. C’est exactement ça ce que nous avons fait. Notre premier jour a été pratiquement une mission de scoutisme pour voir ce qui était près de notre hôtel et le village principal de Hanga Roa. Nous avons marché jusqu’à l’aéroport, et nous avons parcouru la ville de la capitale avec l’espoir de trouver un joli restaurant ou un marché. En fait, nous avons trouvé une boutique d’artisanat avec tout plein de figurines tallées à la main et d’autres souvenirs pour les gens qui étaient de passage et qu’ils puissent emporter une petite partie de l’île avec eux comme souvenir..
Les jours à  suivre, étaient dévoués à visiter plusieurs endroits dans la petite île. Notre guide, un jeune homme de l’endroit, est venu nous chercher  le matin de bonne heure et il possédait  une merveilleuse connaissance de l’histoire semblables à un tas d’histoires de fées. Je ne me faisais pas trop de souci quant à la narration à l’époque, puisque tout ce que je voulais voir c’était mes copains les Moais dont j’avais appris à l’école. Cela n’a pas pris longtemps pour voir les premiers une fois que nous étions en chemin dans la fourgonnette du tour. Je me souviens  l’émotion que j’ai ressenti lorsque cela se produisit et j’ai annoncé la nouvelle de ma découverte à tout le monde qui nous accompagnait dans le groupe. Ces Moais sont des statues d’être humains qui ont été sculptées de rochers volcaniques et qui datent des années 1200 A.D. Le centre de production principal des anciennes tribus était entièrement couvert de monuments qui avaient été complétés et d’autres ne représentaient que l’éternel  travail inachevé. C’est difficile d’imaginer les outils qu’une civilisation aussi isolée a pu utiliser pour tailler ce matériel rugueux car, indépendamment des géants Moais, aucune autre construction remonte à cette ancienne époque. Quels outils ont-ils utilisé pour tailler ces magnifiques géants? Pourquoi étaient-ils obsédés de créer autant de ces répliques d’homme? Quel était le but de ces géants? Tellement de questions avec des réponses perdues dans l’histoire. Il est étonnant de se mettre debout face à ces géants qui ne peuvent pas aider à expliquer leur existence. Leurs têtes curieusement énormes sont disproportionnées par rapport à leur taille et l’observateur peut être laissé à se demander s’il s’agissait d’une élan artistique ou bien peut-être les gens vienne de gênes différents à ceux dont nous connaissons de nos jours.
Il y a environ 900 statues de différentes tailles situés dans l’île et d’autres dont les étrangers ont remporté pour les exposer à travers le monde. Lorsque j’ai visité le British Museum à Londres en Angleterre, j’en ai vu un en exposition et cela m’a apporté de très beaux souvenirs des gens de Rapa Nui. Un des plus grands Moais que nous avons vu lors de ce voyage mesurait à peu près10 mètres (33pds.) et pesait près de 80 tonnes. Avec une île si peu peuplée, c’était difficile imaginer des gens à l’époque en train de déplacer ces monuments de Rano Raraku à d’autres endroits sur l’île. Peut-être ils ont des gênes semblables à ceux de Arnold Schwarzenegger. Notre guide nous a dit que les anciens habitants se servaient de troncs de palmiers comme roues sous les statues pour les déplacer d’un côté à l’autre de l’île, une raison pour laquelle ces arbres étaient presque inexistants dans l’île. Cet argument semblait une possibilité. La construction de monuments semblait avoir été interrompue, tel comme la plus grande structure qui aurait pu mesurer bien des fois plus que la taille du Moai le plus grand. Quelques-uns des monuments avaient aussi un pukao classique, un mot autochtone qui veut dire chapeau. Le pukao était taillé de rocher volcanique également. Les géants semblait avoir l’air d’essayer de communiquer avec les gens de l’endroit car la plupart regardent vers l’île. Il y avait juste un set de Moais sur une grande plateforme en pierre appelait ahu, regardant vers l’océan. Cette puissante déclaration de protecteurs n’était pas expliquée par l’éruption volcanique selon une ancienne légende, ou au moins aucune version de l’histoire d’ancêtre a survécu à travers les générations. Les sculptures et les pétroglyphes nous laissent avec un grand énigme de cette ancienne culture ou bien avec la question à nous poser de la raison pour laquelle les projets ont été abandonnés.
Brian et moi avec notre ami Moai

Ma famille et moi, avons apprecié tous les endroits et nous étions convaincus que le temps que nous avons passé dans cet endroit, nous a donné une très bonne perspective des lieux d’intérêt de l’île. Nous avons été au long de la côte pour déjeuner dans un endroit tranquille cet après-midi là sur Anakena. Cet endroit était une des seules plages sableuses dans tout l’île et avait deux ahus avec des Moais qui protégeaient l’accès à l’océan. Nous nous sommes assis avec le groupe qui était avec nous dans le tour, il y avait des tables genre nord-américain, nous avons mangé notre lunch qui venait dans un sac sous le soleil chaud. Plus tard, nous avons marché en bordure de l’océan, également un des endroits qui avait quelques palmiers, c’était là où Brian et moi avons pu mettre les pieds dans l’eau dans l’eau rafraîchissante de l’Océan Pacifique. Lorsque nous étions en train de jouir de l’eau fraîche, Brian commença à chercher dans le sable des nouveaux articles pour sa collection de pierres. Papa et moi l’avons suivi en espérant trouver un grand trésoir pour mon frère. Peut-être nous allions trouver un tout petit Moai! Pendant notre la chasse au trésor, Brian a marché sur une corail et il a coupe une de ses orteilles et tout d’un coup, il y avait des traces rougeâtres dans l’eau de l’océan. Heureusement, maman n’était pas trop loin pour laver la plaie avec l’eau salée et lui a fait un bandage à l’aide d’un mouchoir. Je me rappelled que je marchais à côté de Brian pour l’aider à marcher en s’appuyant de mon épaule pour garder l’équilibre. Maman avait dit que s’était mieux qu’il ne mette pas son pied par terre pour éviter la plaie de salir. Elle allait être capable de nettoyer la plaie comme il faut une fois rendus à l’hôtel. Elle portait toujours une trousse de secours. Après Anakena, nous rentrerions à l’hôtel pour nous reposer et continuer le lendemain notre aventure polynésienne. Nous avons quitté nos nouveaux copains Moais, sauf pour un tout petit taillé un bois que nous avons acheté au marché d’artisanat. Actuellement, il surveille nuit et jour le sous-sol de chez mes parents à Ottawa au Canada.

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