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L'Argentine: une nouvelle année... une nouvelle défaite |
Lorsqu'on
habite dans un pays dévoué au football, vous vous rendez compte que le monde
entiers arrête les jours dont un match a lieu. Les pays comme l'Angleterre et
l'Allemagne subissent de grandes pertes de production dû au grand nombre
de travailleurs absents. Au Pérou, c'est pareil. Bien que nous étions en
période scolaire, les cours perdaient l'importance, et de même pour nos
professeurs. Cette follie atteint tout le monde sans aucune discrimination et
sans importer l'âge. La chose la plus étrange fut que le Pérou n'avait même pas
qualifié pour le tournois. À ce titre, tous choisissèrent une équipe
pour laquelle ils y allèrent, ce qui fait que tous les matchs sans exception,
furent importants. Voici la raison pour laquelle on l'appelle le jeu du peuple.
Il y a toujours une équipe préférée pour tout le monde. En outre, comme il
s'agissait d'une école américaine et il y avait un grand nombre d'élèves au
secondaire avec la citoyenneté américaine qui apuyaient catégoriquement les porteurs
de leur drapeau national. Je me souviens d'avoir été dans mon cours
d'informatique lorsque les États-Unis jouaient contre l'Iran, un jeu dont les
Perses furent vainqueurs après 90 minutes de jeu. Je n'ai jamais eu de ma vie
une expérience pareille de cette dimension, voir un nombre aussi grand de
supporters de football pour un événement international. Le football c'est
tout! Il me semble que c'est la raison pour laquelle nous l'appelons soccer en
Amérique du nord.
Le Mexique fut une des merveilleures surprises lors du tournois. Les guerriers aztèques avaient quelques joueurs reconnus hors la ligue nationale, mais ils étaient munis d'une certaine détermination pour démontrer leur dévouement national au jeu. Luis "El Matador" Hernandez fut le fer de lance de l'attaque mexicain qui démontra comme jamais dans sa vie, comment marquer quatre buts importants en total. Le Mexique débuta sa campagne dans un jeu contre la Corée du sud, avec un défit, tout un déficit tôt, de 0-1 vers une victoire de 3-1. Ce fut remarquable, un retour pas mal disputé. Quelques jours plus tard, il perdèrent par 2 buts contre un côté belge pas mal fort, et ils ont quand même fini en égalité 2-2. Le match de groupe à suivre fut un facteur décisif et le Mexique s'est bien défendu contre une équipe hollandaise plus forte en gagnants des points lors du match nul 2-2. Toute une prouesse contre l'Oranje. Apparemment, les Mexicains avaient trouvé un super joueur en Jesus Arellano. À chaque fois qu'on lui demandait de s'intégrer à un match difficile, cela faisait une grande différence. Même quand tout se passer d'une façon extraordinaire, spécialement après remporter un avantage lors de la mid-temps de 1-0 contre l'Allemagne pendant les éliminatoires, les Européens plus chevronnés ont répondu deux fois, renvoyant les Aztèques de retour à l'hôtel pour faire leurs valises. Une fin décevante pour une véritable performance.
Le côté brésilien avait quelques résultats persuasifs. Bien qu'ils ne manquaient de talent pour surclasser leurs opposants sur le terrain, on aurait dit qu'en ayant surnommé a canarinha comme l'un des préférés cela a marché comme s'il on avait jeté un sort. Six des sept jeux qu'ils ont joué en sol gaulois ont vu que les buts concédaient, comme s'ils manquaient d'appui convenable de la part du gardien de but. Il y en a qui disent que les Brésiliens généralement ne sont pas capables de fournir des gardiens de but de première classe et ce genre de performance constateraient les allégations. Les héros du jour étaient dans les premières lignes. Ils opéraient à partir du principe «Je peux marquer un de plus que vous». Ce furent des matchs pour ceux qui ressentent que le foot est du soccer: un jeu ennuyeux oú l'on ne marque pas de but. Pour un vrai fan du sport, la confiance est encouragée à partir d'une équipe solide. Une lutte vers la victoire 2-0 est beaucoup plus enrichissante qu'un score 7-6. Leur test le plus fort ce fut lors qu'ils jouèrent contre les Hollandais oú ils ont réussi à finir en égalité après le temps supplémentaire et le jeu fut déterminé par des pénalties. Une fois rendu à ce point là, la plupart du noyeau des fans sont au bord de leurs sièges et de faire un arrêt du coeur. Cependant, après avoir lutté, ils sont obligés de faire face aux hôtes pour une fin inoubliable.
La France avait réussi quelques victoires convaincantes. Ils guidèrent leur groupe, en l'emportant à la ronde suivante sans difficultées. À partir de ce moment, ils démontrèrent une performance à être souhaitée par tout le monde, en ayant un joueur mondial de première classe et capitaine Zinedine Zidane qui tenait la barre. Il était capable de désarmer tout seul n'importe qui mais il avait vraiment besoin d'un buteur prolifique tout près de lui pour terminer chaque belle ataque. Le meilleur match que les Français présentèrent fut le match final contre le Brésil. Le désordre sud-américain dont généralement dominait la performance du Brésil tout au long de la compétition fut fatal par rapport au côté des Bleues plus organisé et déterminé devant leurs propres fans. Pendant les premières 27 minutes, une belle passe traverssant les cieux se dirigea vers Zizou, d’oú il frappa sa précieuse tête chauve contre le balon, l’envoyant au fond du filet Brésilien. Il n'y eut pas de réponse mais frustration, et le match finissa en écrasant vraiment les Brésiliens. Parfois, les gens peuvent craquer sous la pression d'essayer de vivre avec la réputation d'être le favori.
Le Mexique fut une des merveilleures surprises lors du tournois. Les guerriers aztèques avaient quelques joueurs reconnus hors la ligue nationale, mais ils étaient munis d'une certaine détermination pour démontrer leur dévouement national au jeu. Luis "El Matador" Hernandez fut le fer de lance de l'attaque mexicain qui démontra comme jamais dans sa vie, comment marquer quatre buts importants en total. Le Mexique débuta sa campagne dans un jeu contre la Corée du sud, avec un défit, tout un déficit tôt, de 0-1 vers une victoire de 3-1. Ce fut remarquable, un retour pas mal disputé. Quelques jours plus tard, il perdèrent par 2 buts contre un côté belge pas mal fort, et ils ont quand même fini en égalité 2-2. Le match de groupe à suivre fut un facteur décisif et le Mexique s'est bien défendu contre une équipe hollandaise plus forte en gagnants des points lors du match nul 2-2. Toute une prouesse contre l'Oranje. Apparemment, les Mexicains avaient trouvé un super joueur en Jesus Arellano. À chaque fois qu'on lui demandait de s'intégrer à un match difficile, cela faisait une grande différence. Même quand tout se passer d'une façon extraordinaire, spécialement après remporter un avantage lors de la mid-temps de 1-0 contre l'Allemagne pendant les éliminatoires, les Européens plus chevronnés ont répondu deux fois, renvoyant les Aztèques de retour à l'hôtel pour faire leurs valises. Une fin décevante pour une véritable performance.
Le côté brésilien avait quelques résultats persuasifs. Bien qu'ils ne manquaient de talent pour surclasser leurs opposants sur le terrain, on aurait dit qu'en ayant surnommé a canarinha comme l'un des préférés cela a marché comme s'il on avait jeté un sort. Six des sept jeux qu'ils ont joué en sol gaulois ont vu que les buts concédaient, comme s'ils manquaient d'appui convenable de la part du gardien de but. Il y en a qui disent que les Brésiliens généralement ne sont pas capables de fournir des gardiens de but de première classe et ce genre de performance constateraient les allégations. Les héros du jour étaient dans les premières lignes. Ils opéraient à partir du principe «Je peux marquer un de plus que vous». Ce furent des matchs pour ceux qui ressentent que le foot est du soccer: un jeu ennuyeux oú l'on ne marque pas de but. Pour un vrai fan du sport, la confiance est encouragée à partir d'une équipe solide. Une lutte vers la victoire 2-0 est beaucoup plus enrichissante qu'un score 7-6. Leur test le plus fort ce fut lors qu'ils jouèrent contre les Hollandais oú ils ont réussi à finir en égalité après le temps supplémentaire et le jeu fut déterminé par des pénalties. Une fois rendu à ce point là, la plupart du noyeau des fans sont au bord de leurs sièges et de faire un arrêt du coeur. Cependant, après avoir lutté, ils sont obligés de faire face aux hôtes pour une fin inoubliable.
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Le coup de grâce de Zidane aux Brésiliens |
La France avait réussi quelques victoires convaincantes. Ils guidèrent leur groupe, en l'emportant à la ronde suivante sans difficultées. À partir de ce moment, ils démontrèrent une performance à être souhaitée par tout le monde, en ayant un joueur mondial de première classe et capitaine Zinedine Zidane qui tenait la barre. Il était capable de désarmer tout seul n'importe qui mais il avait vraiment besoin d'un buteur prolifique tout près de lui pour terminer chaque belle ataque. Le meilleur match que les Français présentèrent fut le match final contre le Brésil. Le désordre sud-américain dont généralement dominait la performance du Brésil tout au long de la compétition fut fatal par rapport au côté des Bleues plus organisé et déterminé devant leurs propres fans. Pendant les premières 27 minutes, une belle passe traverssant les cieux se dirigea vers Zizou, d’oú il frappa sa précieuse tête chauve contre le balon, l’envoyant au fond du filet Brésilien. Il n'y eut pas de réponse mais frustration, et le match finissa en écrasant vraiment les Brésiliens. Parfois, les gens peuvent craquer sous la pression d'essayer de vivre avec la réputation d'être le favori.
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