L’Espagne
commença comme le premier seuil vers l’Amérique peu après l’an 1492, quand
Colomb partit vers un Nouveau Monde. Le jour marquant le fameux débarquement en
terres neuves de l’autre côté de l’océan fut si grandiose qu’il est commémoré à
partir du nord jusqu’au sud le 12 octobre, (a exception du Canada) aux
Etats-Unis on l’appelle « Le jour de Colomb », dans plusieurs pays de l’Amérique latine on
l’appelle «El día de la Raza » [Jour de la race], en Espagne « El Día
de la Hispanidad » [Jour du monde hispanique], entre autres. Même si notre
cher Christophe et ses fidèles partisans n’ont pas réussi à arriver à Las
Indias, celle qui fut l’idée principale, ils ont quand même laissé tout un
héritage. Une grande partie de l’Amérique latine et des Caraïbes hispanophones
ont des racines culturelles de la mère patrie – même s’ils sont nombreux ceux
qui le démenti – tout en ajoutant, du sucre venant des cultures autochtones.
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La terre est plate mon vieux |
Ma première
aventure en Espagne fut l’hiver de l’an 2004, avec l’intention d’aller voir les
universités pour obtenir de information afin de poursuivre mes études pour le
diplôme de troisième cycle de droit international. D’habitude, à l’Ontario,
nous avons une semaine de relache au mois de février que l’on appelle
« Semaine d’études », j’ai profité de ce moment idéal pour faire ce
voyage. J’avais un grand intérêt comme Sudaméricain – une adoption développée
vue le temps vécu dans ce continent – et tant mes connaissances culturelles
comme celle de l’histoire de la mère patrie furent strictement didactiques. En
plus, une partie de l’Espagne forme partie de mon existence, étant donné que
Castilla y León fait partie de mes racines ancestrales du côte de ma grand-mère
maternelle. Je ne pouvais ressentir rien d’autre qu’une grande émotion de
pouvoir faire ce grand voyage.
Le début du
voyage fut Madrid, la capitale situé littéralement dans le centre géographique
du territoire espagnol. En arrivant, je fus surpris, cette ville par rapport
aux autres villes euporéennes, est une ville urbaine avec des constructions
neuves. Celle-ci, fut tout simplement un tout petit village quand le roi
Felipe II installa son palais royal là, à la sortie de Toledo, mais le
boom fut ressentit en fait au siècle XVIIIe à l’époque des rois Borbons – cette
famille n’avait rien à voir avec le whisky de Kentucky ou Tennessee, même s’ils
étaient vieux dans la culture de la boisson. Un très intéressant parallèle est
que de nombreux bâtiments de l’époque coloniale en Amérique latine partagent
une impressionante ressemblance avec l’architecture madrilène. Après mon
éternel exile au Canada, je me suis senti comme si j’étais de retour dans une
capitale sudaméricaine puisque de nombreuses constructions me rappellaient le
centre-ville de Santiago, de Lima et de la ville de Mexico.
Ma première
impression des Madrilens fut qu’ils sont des personnes très exitées. Pour les
gens qui n’ont jamais été dans cette ville, on peut se sentir rejeté par les
habitants. J’ai pris un taxi à La Castellana et je me suis fait avoir par le
taxiste, en fermant la porte, qui m’a traité d’un ton agressif et vulgaire, en
disant « Les étrangers toujours ferment la porte comme des
bêtes ! » - j’ai dû changer le ton original. Comme suite à cette
interlocution, il continua à faire du boudin, possiblement ce fut ma présence,
même s’il avait l’habitude de conduire des touristes pour gagner sa vie. Cela
ne dura pas longtemps, peut-être 15 minutes, jusqu’à ce qu’il repris les
remarques sur sa fameuse porte, alors je lui ai demandé de s’arrêter pour me
laisser descendre. J’ai refusé de payer
pour le court trajet, je lui ai expliqué que je refusais de payer pour un si
mauvais service et son attitude révoltante. J’espère que ce monsieur a appris
quelque chose par rapport au respect.
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La Palais royal à Madrid |
Je ne peux pas
dire que tout le monde était désagréable. Ce comportement est quelque chose que
je considère un syndrome propre des gens de la capitale, où les habitants de la
ville vive à rythme accéléré. Je pourrais dire que c’était trop de stress
essayer de trouver un équilibre dans la politique, l’économie et la culture
d’un pays. Néanmoins, j’ai rencontré des gens très sympas qui partageaient
beaucoup du comportement acceuillant, sympatique et joyeux des
Latino-américains. La similarité était impressionnante. La grande différence
fut sans doute la langue. Les Latino-américains en général développent beaucoup
leurs idées dans leurs commentaires et donnent beaucoup d’explications, les
espagnols au lieu préfèrent la forme directe. Lorsqu’on a pas l’habitude de
cette façon d’être, on se sent menacé par le manque de protocole.
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