Un enfant de troisième culture (TCK/3CK) ou enfant trans-culturel est "quelqu'un qui, pendant son enfance, a consacré une longue période de sa vie dans une ou plusieures cultures autres que sa propre, intégrant ainsi certains éléments de ces cultures avec celle sa naissance créant une troisième culture."

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dimanche 28 octobre 2012

Un géant canadien en danger d’extinction


Un des plus importants sites de notre image international repose approximativement à 50 minutes de route à partir de Halifax. Un grand nombre de personnes dans le monde – ne peuvent pas se rappeler du nom – ont l’image d’un phare très haut et blanc aspergé par une brume légère de l’océan qui se produit par les vagues furieuses se heurtant contre la base rocheuse. Cette tour unique est un des points de repère des plus connus, non seulement en raison de son but – dirige le trafic maritime sans risque jusqu’au port, ce qui est tout à fait une noble entreprise – mais sa beauté naturelle qui est spectaculaire, et fait de la crique de Peggy, un endroit à ne pas y manquer lorsque vous allez en Nouvelle Écosse.

Le phare de Peggy's Cove

L’été 2005, j’ai passé quelques jours dans ce village de pêche et ma toute première impression de cet endroit fut comme s’il s’agissait de quelque chose qu’on avait coupé du magasine National Geographic ou bien paré pour un photographe prestigieux qui venait à la ville. Tout était immaculé et servait a un but précieux, à partir des toutes petites maisons partiellement bâties sur le bord de la mer rocheux et soutenues sur la voie d’eau, jusqu’aux filets de pêche multicolore qui attendaient enroulés sur la rue prêt à être utilisés, et les bateaux de pêche qui attendaient également patiemment en rang leur équipage pour reprendre leurs aventures de haute mer. L’industrie de la pêche a perdu une certaine importance quant au revenu de la régie dû aux habitants éblouis par le tourisme, lequel a  acquit de façon continue, un momentum après la IIème guerre mondiale.

Le phare, connu officiellement comme le Phare de la Pointe de Peggy, est une des structures les plus photographiées dans la région atlantique du Canada et a joué un important rôle dans la campagne de relations publiques du Canada dans le monde entier. Je me souviens avoir assisté à des événements culturels à l’étranger, comme enfant et comme adulte, et cet endroit fut toujours placé comme un premier plan de notre image nationale. Des posters, des vidéos…un peu partout. Merci, Nouvelle Écosse de nous mettre sur la carte !  Ce fut le garde côte canadien qui s’occupait du fonctionnement du phare quand j’ai été pour le visiter. Dans l’année 2010, il fut déclaré un surplus pour cette organisation dû aux améliorations de pointe dans les dispositifs de navigation et depuis, on se pose beaucoup de questions sur qui sera le prochain qui prendra soin. Ce qui pourrait conduire à une intéressante émission de télé de réalité.

Comme notre société continue à évoluer à travers la technologie – de nos jours, n’importe quoi risque de devenir obsolète du jour au lendemain – c’est notre devoir pour assurer la survie de notre histoire fière et riche. Le bureau de poste du Canada situé dans le phare a fermé, la raison principale fut la moisissure, ce qui représentait un risque de sécurité aux employés et aux colis. La perte de ce locataire a produit un autre coup au revenu et a augmenté la charge du contribuable lors de conditions économiques qui représentaient déjà un défi – il n’y a pas eu beaucoup de booms dans cette partie du monde. La dernière chose que j’ai entendu concernant sa recherche pour la survie - un affiche d’un enfant comme reflet de l’insignifiant délabrement économique global – fut que le phare avait jusqu’au mois de mai de 2012 pour être nommé sous l’acte de protection de phare d’héritage (projet de loi S-215) ou bien ferait face à la disposition – une retraite triste pour un loyal service de 97 ans. Il y a eu des inférences que la province de la Nouvelle Écosse réclamera à un moment donné la propriété, mais jusqu'à date il n’y a  personne qui se soit présenté pour le faire.

Le meilleur hôtel du village

Pour l’instant le site est toujours grand ouvert aux visiteurs qui viennent de loin, mais il me semble qu’il est ouvert seulement en base saisonnière – d’habitude à partir de la fin avril jusqu’au mois d’octobre. Je présume que vous pouvez voir le phare de toute façon à partir d’une certaine distance pendant l’hiver de même pour le village sous un gros manteau blanc de neige, qui pourrait avoir l’air à un village fantôme de l’époque des films classiques occidentaux. Il est vraiment un pilier unique de l’héritage de notre pays, avec ou sans le phare. L’avenir de tout le village est en suspense, car avec la perte de l’attraction centrale, ce sera la même chose que voir les Chicago Bulls une fois Michael Jordan parti à la retraite. Leur terrain de jeu pour attirer avec succès les touristes serait mis pour par avec d’autres petits villages de la région qui luttent déjà pour survivre sur une industrie très limitée et saisonnière.

dimanche 21 octobre 2012

Halifax - Richesse de la mer

Halifax est une des villes des plus importantes de l’est du Canada, et j’ose la baptiser, « Le Boston du Canada ». Possiblement, vous n’êtes pas d’accord, mais c’est moi qui est là pour écrire l’histoire. La ville possède une institution bien établie, l’Université Dalhousie, qui est une source de fierté pour les habitants de la région et l’une des meilleures écoles d’études supérieures de notre pays. Son port a été un atout stratégique pour le Dominion du Canada défendant les Gringos, et à la fois les Canadiens qui habitent Dubaï font venir leurs sapins de Noël de cette région. Ce ne peut pas être une Sainte Nuit si l’on est rassemblé autour d’un air-clim dans le salon et avec un palmier tout plein de rubans ayant l’air à Miss Univers. MoneySense a  classifié la capitale de la Nouvelle Ecosse comme le quatrième meilleur endroit pour y vivre au Canada dans l’année 2012 et j’espère pouvoir vous le démontrer dans les prochains paragraphes.

Maman avec notre déjeuner

Quand j’ai y été en 2005, le centre-ville m’a semblé l’un des plus propres jamais vu. Les bâtiments avaient un sourire Colgate spécial pour les blanchir encore plus. Soit que les citoyens avaient un sens de fierté civique quant à leurs structures ou bien ils avaient plus de capital pour distribuer aux services de nettoyage et d’entretien. Même le fascinant centre d’achats de la rue Sparks au centre-ville d’Ottawa a quelque chose à envier. Je présume que la Commission de la capitale nationale a toujours quelque chose à nous offrir. J’ai trouvé un peu partout dans le centre-ville tout plein de statues d’homards de la taille d’un être humain – et en fait, ils n’étaient pas comestibles – peint de tout plein de différentes couleurs, un peu comme Toronto l’a fait il y a longtemps où l’on trouvait une souris à chaque coin de la rue. Vous êtes bien venus les contribuables. Vous ne pouvez pas vous rendre compte que les Canadiens sont des personnes qui aiment le plein air et nous sommes fiers de notre unique vie sauvage ? Je ne me fatigue jamais de vous dire que, nous avons le parc d’amusement naturel le plus grand. Le centre-ville est petit comparé à d’autres villes, mais il y a quand même de bons restaurants, des tours de ferry, de bus, des hôtels et des brasseries.

Un endroit que j’ai beaucoup aimé, ce fut le Fort Georges – nommé ainsi d’après le Roi Georges II – situé sur la Colline de la Citadelle, comme le protecteur de la ville et du port juste au-dessous. Cette fortification avait été édifiée en principe pour défendre les colons protestants des monstres français, des incursions d’astucieux Acadiens et de puissants Micmac. Pendant les mois d’été des étudiants universitaires participent reconstituant quelques étapes de notre histoire portant les traditionnels épais manteaux rouges de l’époque coloniale britannique avec un petit changement – vous l’avez deviné, les kilts ! Ce serait bien de se faire payer pour porter un kilt pendant tout l’été. C’est un système libre de refroidissement. Le soixante-dix-huitième régiment de la Bande Foot and Pipe de Highlanders qui courent et se cachent à leur façon (veuillez noter la référence de Braveheart)… bien que le constant bruit de la cornemuse doit sans doute révéler leur position stratégique. La musique de cornemuse faisait les fois d’une provocation d’armes en masse) aux unités militaires de l’opposition. C’est comme ça que nous avons battus les Américains dans la Guerre de 1812. Pour ceux qui  ne sont pas des amateurs d’histoire comme votre cher serviteur, je vous recommande de toute façon cette visite puisque vous avez une vue magnifique depuis cette hauteur sur la baie qui est spectaculaire.

Un autre bel endroit, ce sont les jardins publics, juste au pied de la colline de la citadelle et à côté de la brasserie Alexander Keith. Est-ce que je ne vous l’ai pas dit que nous sommes producteurs d’incroyables quantités de boissons alcooliques dans ce pays ? On dirait qu’il y a une brasserie dans toutes et chacune des histoires de mon expérience dans la Côte Est. Je n’ai pas un côté très développé comme botaniste, mais la nature fait preuve d’une certaine puissance calmante en moi – beaucoup plus que les grandes structures en bêton – spécialement lorsqu’il n’y a pas de bruit dans le parc public. Halifax est d’une certaine façon un trésor caché, les touristes ne sont pas aussi nombreux comme dans d’autres villes canadiennes, qui remportent d’habitude le charme de l’environnement de la région. Ce n’est pas une chose pour reprocher aux touristes, mais certainement nous sommes d’accord que le plus de gens il y a autour de nous, les endroits deviennent moins bien soignés et on se fait pousser à chaque instant. C’est dommage, mes les gens ont une certaine tendance de se faire passer comme une priorité « Numéro Un » et dérangent les visiteurs passifs. En tout cas, il y a plusieurs différentes sortes de fleurs, de plantes, et d’arbres dont je ne peux pas citer, mais croyez moi…ils sont magnifiques¡ Cet endroit est très bien entretenu par la ville, alors amusez-vous bien et s’il vous plaît ne cueillez pas les fleurs, il faudra vous renseignez d’abord auprès de la régie municipale, sauf si vous avez l’intention de rendre furieux les Dieux de Halifax.

Même le transport public fait l'annonce pour Keith

Quand il a fallu que je choisisse les écoles où je voulais suivre mes études pour préparer une licence, l’idée d’aller dans l’est ne m’est jamais venu à l’esprit, même si les Bickford avaient passés une grande partie de leur vie là. Je considère plutôt l’Ontario mon chez moi, ayant passé des mémorables moments en grandissant, à Etobicoke, Grimsby, Kinston, Ottawa et Toronto. Mon père a brièvement passé du temps à Halifax lors de son enfance et revenu peu de fois.  Une fois qu’il a quitté les Provinces maritimes, cette région lui disait toujours quelque chose d’une façon spéciale. C’est drôle comment certains endroits deviennent une partie de soi. D’une certaine façon, je fus surpris qu’il s’identifié comme une personne des provinces maritime et les aspects de leur style de vie. Il me semble qu’il n’est pas trop bizarre qu’un jeune Anglais et du Pays de Gales, qui a grandi dans la Côte Est et qui a voyagé dans le monde entier tout au long de sa vie, garde une certaine affinité avec l’Est. Après tout, mon frère et moi avons passé une grande partie de notre enfance en Amérique Latine et nous trouvons malgré tout notre chez nous à l’Ontario. On dirait que nous avons plus en commun avec mon père que ce que nous avions pensé!

dimanche 14 octobre 2012

Introduction à la Nouvelle Écosse


Si vous n’avez jamais été à Digby, Nouvelle Écosse, vous devez vivre encore longtemps. Cette capitale mondiale des coquilles Saint-Jacques – de la taille des galets d’hockey. Ce n’est pas une blague, chers amis – ce fut le port de débarquement au terrain de jeu de l’océan du Canada pour des montagnards, bien que tout le reste du monde semble avoir le droit de se joindre à l’amusement. Il n’y a rien de plus amusant que de commencer la escapade dans cette merveilleuse et sauvage région avec un ventre plein des plus fraîches et meilleures coquilles Saint-Jacques. Tout le monde a besoin de cet excédent de cholestérol de temps en temps. Il y a tout plein de restaurants où vous pouvez goûter aux coquilles Saint-Jacques grillées, sautées, à la vapeur et même de la glace aux coquilles Saint-Jacques – bon, peut-être pas cette dernière. Bubba Gump Shrimp pourrait tirer bénéficie d’une association dans cet endroit.

Le centre-ville de Digby pendant l'heure pointe 

L’Écosse a donné au monde de grands héros tel que William Wallace, un courageux poète guerrier, qui soutient une ressemblance frappante à Mel Gibson. Une journée sans kilt c’est comme une journée sombre, n’est-ce pas ? La version plus récente de la terre gaélique située de l’autre côté de la mare a donné naissance à ses propres héros comme Sidney Crosby (vous êtes bienvenu à Pittsburg), Robert Borden (un Premier Ministre aux qualités exceptionnelles, jamais vu) et Alexander Keith (un héros pour la plupart des étudiants universitaires canadiens) juste pour nommer quelques-uns. Culturellement, il y a plusieurs ressemblances entre ces personnalités et les gens de la Nouvelle-Angleterre. Ceux qui s’aventurent dans les hautes mers dans des conditions très dangereuses pour assurer  qu’il y ait dans chaque foyer du homard pour le dîner sont nombreux. Il existe aussi une connexion française parmi la population, qui vient s’ajouter à une riche culture acadienne en parallèle avec la viticulture de la Côte Est qui commence à débuter dans la Vallée Annapolis et Lunenberg et joue maintenant le rôle d’hôte dans l’un des festivals du rhum le plus renommé au Canada.

Ce que j’ai vraiment aimé en chemin vers Ingomar, était la paix et la consolation trouvées dans toute cette région à peine peuplée. Si vous cherchez à réfléchir en silence, celui-ci pourrait être l’endroit idéal – évidemment en été. Le littoral compte de plusieurs communautés, et leurs populations respectives sont à peine dans les centaines. Les longues plages sablonneuses vous attendent. Avez-vous déjà rêvé d’en avoir votre propre plage? Bon, cela est possible au sud de la Nouvelle Écosse. À chaque fois, que j’ai envie d’une petite escapade dans le pays de la méditation, je me transporte à la plage où je me suis assis une fois pour regarder les vagues, sentir le vent apaisant et écouter mes chansons préférées sur mon lecteur mp3. Le bonheur absolu ! Qu’en pensez-vous ? Dans la plupart des plages dans le monde, où il n’y a personne, on passe des conditions comme un zen rapidement grouillé par des légions de marchands de la région qui viennent dissiper en cinq secondes la paix, comme Richard Kimble à la recherche de l’homme qui n’a qu’un seul bras.

L’accent au sud de la Nouvelle Écosse est très particulier. Pour un instant, vous pourriez jurer que d’une certaine façon, vous avez fini en Irlande, vous menant à croire que le ferry de Saint Jean à Cork est beaucoup plus vite qu’un voyage en avion. Top of the morning to you, boy-o ! La vie est bien plus simple là et c’est quelque chose que nous pourrions bien apprendre de ces gentilles personnes – ou bien, au moins, l’apprécier tant que vous êtes sur place. Pendant mes missions de reconnaissance à Shelburne et Barrington, les gens de la région souriaient et en fait ils disaient toujours « Bonjour ! ». J’avais quasiment oublié que ces mots existaient dans la langue anglaise après avoir passé plusieurs années en Ontario. Je me suis senti comme une gazelle ébloui et paralysé par les phares d’une voiture, me demandant quelle serait la réponse idéale à cette salutation. Lors d’une de nos promenades en famille, un des gens qui habitait à Ingomar insista que nous devions venir dîner chez lui un soir. Ils sont tout simplement comme ça. Quel dommage que nous ne pouvions pas ramener quelques-uns pour recoloniser l’Ontario.

Quelques images de notre séjour

Ingomar fut la base de nos opérations au long de la semaine que nous avons passée dans la province. À partir de là, nous organisions nos promenades stratégiques à Halifax, Peggy’s Cove et Lunenberg, des destinations courantes pour les touristes. Le commentaire vis-à-vis ces endroits arrive bientôt, je le promets. C’est surprenant de trouver de grands supermarchés par rapport à ceux que l’on trouve dans les régions métropolitaines dans cet endroit si isolé du reste du monde, mais encore une chose de plus, des homards vivants sont de la taille d’un enfant. Je n’étais pas sûr si je devais être surpris ou inquiet – ces bêtes pouvaient sans doute se rebeller contre les personnes qui les capturaient. Bien que j’ai suggéré mon père au départ que nous devrions en acheter une – même juste pour l’avoir comme mascotte chez nous – ma mère ne nous a pas encouragés. Ils étaient bien trop grands pour les mettre dans une casserole ou dans le petit four du chalet. Rien de meilleur que les fruits de mer frais!

dimanche 7 octobre 2012

Fin de semaine de l’Action de Grâce


À tous les ans, le Canada profite de se régaler tout au long de ce week-end en mangeant de la dinde. L’Action de Grâce canadienne – oui, le vrai jour d’Action de Grâce ! – se fête un mois avant celui des Américains. Le repas se fait d’habitude à leur du dîner et il s’agit d’une dinde farcie (pas de farcie pas de dinde), une bonne sauce préparée avec le jus de la dinde, de délicieuses pommes de terre,  des petits-pois et des carottes (oui, juste des petits-pois et des carottes). Nous disons au revoir à la merveilleuse saison de l’été qui nous apporte d’habitude tout plein d’activités en plein air et nous nous préparons en même tempos pour l’hiver. Il s’agit d’un jour que j’aime beaucoup fêter puisque c’est la dernière opportunité de fêter quelque chose avant la Noel et ensuite ça devient plus difficile de nous réunir une la neige vient s’installer.



Dans le passé, nos ancêtres se rassemblaient autour de la table à manger, reconnaissants d’une récolte abondante. Je suis toujours convaincu que les familles les plus proches sont celles qui partagent leurs repas assis à table, dans une excellente conversation se retrouvant face à face marquant ce moment comme l’un des plus précieux. La communication est essentielle, n’est-ce pas ? L’élégante dinde, une bête merveilleuse d’origine nord-américaine (presque un cadeau du Bon Dieu), qui remplace la bonne oie que les anglais mangent lors des fêtes importantes. Dans les vieux temps, si nos courageux fermiers évitaient leurs obligations de routine de labourer les champs, les hivers ne leur donneraient pas la chance de les punir. Le Costco n’existait pas ni les Walmarts à l’époque, n’est-ce pas ? De nos jours, nos prenons pour un fait accompli aller dans n’importe quel supermarché, à n’importe quel moment de l’année, et acheter des fruits « frais ». Nos accords stratégiques de libre commerce jouent vraiment un rôle important de garder un bon stock dans nos magasins les meilleurs avec toute sorte de produits.

L’Action de Grâce est le moment d’apprécier tout ce que nous avons réussi à en avoir. Nous sentons tous que nous méritons une pause. N’oublions pas ! Il existe aussi beaucoup de cadeaux inattendus qui nous arrivent tout au long de l’année, qui rendent notre vie d’une façon inattendue  beaucoup plus agréable et satisfaisante. Nous passons une grande partie de nos jours dans un environnement qui avance à grands pas sans tarder, ce qui encourage à oublier les choses qui nous sont chères. Nous culpabilisons bien des fois en train de nous plaindre avec nos amis et la famille en disant que nous attendons beaucoup plus de la vie et une « solution unique » dans notre vie. C’est surprenant comment nous sommes capables de négliger toutes les petites choses (et vraiment petites) qui nous font sentir enrichis dans tous et n’importe quel sens et souvent nous envions même autrui.  Nous devrions faire attention plus souvent des gens que nous fréquentons au lieu de ne pas s’en faire et mettre tous les œufs dans le même panier.

En ce temps de fête, je suis très reconnaissant envers mes chers amis et ma famille qui ont été un grand soutien pendant le temps que j’ai été souffrant avec ma blessure et poursuivant en même temps le long chemin vers la récupération représentant tout un défi. Le 24 juin, j’ai fêté la Saint Jean Baptiste dans la salle d’urgence après avoir déchiré le tendon d’Achilles, quelque chose que je ne souhaite à personne de faire. Du bon côté, j’ai perdu quelques kilos ce qui fut bon et ce fut à cause du traumatisme. Évidemment, cela ne représente pas un échange. Après quelques semaines, je suis revenu à l’hôpital pour me faire opérer, j’ai été admis aux soins de chirurgie d’un jour, ils ne se sont pas trompés en l’appelant de cette façon. J’ai passé presque toute une journée ouvrable sur place. Toutes vos visites, appels au téléphone, mails – et n’oublions pas les thés Soy Tazzo Chais chez Starbucks – en me disant qu’ils étaient là pour moi. Ce fut vraiment important pour moi et en même temps le meilleur cadeau que j’aurai pu avoir, en dépassant n’importe quelle autre chose matérielle. En fait, vous vous rendez compte qui sont vraiment vos amis lorsque vous passez par des moments difficiles et je me considère privilégié. Maintenant, je suis de la rééducation et je songe à l’avenir.



Dans l’esprit du jour de la dinde – ou plutôt la fin de semaine de la dinde, n’est-ce pas ? – J’espère que vous ferez bien attention sur la route et que vous mangerez de la dinde avec modération. Cette volaille fantastique possède des qualités somnifères. On ressent toujours les effets. C’est un jour de joie, de reconnaissance, de réconciliation et de passer de bons moments avec vos êtres chers, ce sont les ingrédients les plus importants pour cette réunion familiale. Les bons moments ce sont les moments dont nous en gardons un très beau souvenir,  qui nous aident à surmontés les moments difficiles. C’est aussi le moment idéal de porter un manteau et mettre son chapeau pour aller aux hébergement pour aider les personnes qui n’ont pas autant de chance. Il y a bien de gens qui attende un sourire et un repas chaud pour l’Action de Grâce. Bon appétit à tout le monde !

dimanche 30 septembre 2012

Saint Jean, c'est le Fun-dy !


Saint Jean est la ville la plus peuplée de la province du Nouveau Brunswick et c’est aussi l’endroit où mon père a passé les dernières années de son adolescence dans les Maritimes avant de prendre le chemin vers l’Ontario. Au moment de notre arrivée dans cette belle ville, nous avons l’extraordinaire occasion d’observer les chutes Reversing pendant un petit moment. Pour quelqu’un qui n’a pas l’habitude de les voir, on dirait que ce n’est pas grand-chose comparées à celles du Niagara ou bien celles d’Iguaçú. Je présume que l’immense fabrique de pulpe et papier juste à l’autre bout de l’endroit où j’y étais, et qui s’interposait dans cette belle nature, ne m’a pas impressioné autant. Il existe également quelque chose de bizarre – évidemment, pour ce qui n’ont pas un bon odorat – une odeur comme à l’urine qui s’étend dans l’ambiance et se mélange avec la fumée qui sort par les cheminées. La magie se trouve dans la marée – où bien on l’appelle dans certains endroits, « the tuh-ide. »



La marée vous avez dit ? Oui, ma trout !  La Baie de Fundy n’est pas seulement reconnue comme l’une des baies des plus amusantes au Canada, mais en raison des changements de marée si surprenants entre les hautes et les basses. La différence est une rupture record, mais on dirait que personne fait attention. Le tour de la montagne russe le plus impressionnant de la nature. Apparemment, si jamais vous vous promenez en bordure pendant la marée basse, une fois que la marée haute approche, elle le fait à une grande vitesse, même le Poseidon pourrait lutter contre pour échapper de l’incroyable force de la nature. Ensuite, pourquoi le Dieu grec des mers serait en train de se promener sur la terre ? Possiblement, il a pensé qu’il était devenu un triton. Peut-être le seul à accomplir telle chose comme un festin c’est le seul et unique Chuck Norris. Saviez-vous qu’il est si coriace qu’il met des gouttes de sauce Tabasco dans les yeux ? – c’est une réalité, ce n’est pas de la fiction, mesdames et messieurs, je ne l’invente pas. Il pourrait roundhouse kick renvoyer l’océan vers la marée basse.

Revenant au sujet de la marée, les changements qui se passent avec l’océan ont aussi un rôle par rapport à la rivière St. Jean. Les courants avancent dans une direction lors de la marée basse et ensuite au sens inverse lors de la marée haute, voilà la raison pour leur nom, les Chutes Renversées. Un autre fait intéressant pour les Myth Busters !  Donc, vous pouvez seulement constater la magnitude de ce cercle magique de la vie qui nous fait tourner tous en rond lorsqu’on passe un jour dans la ville. Autrement, vous penseriez que c’est juste un drôle de nom que les gens de la région leur ont donné. C’est vraiment impressionnant et il s’agit de l’endroit le plus visité dans la ville. Mon père passait par là en marchant sur la neige qui avait à peu près 10 pieds d’hauteur, nu-pieds, et une température croustillante au-dessous de 50 tous les jours pour faire l’aller et retour de chez lui à l’école. Les gens étaient beaucoup plus costauds à l’époque…et le climat pas mal rigoureux!

Saint Jean est également le chez soi de l’un de nos trésors nationaux: la brasserie Moosehead. L’accès à une bière d’haute qualité, est l’un des piliers de fondement du Canada. Nous sommes extrêmement tolérants et nous l’acceptons, mais il ne faudrait pas renverser notre eau bénite. Si jamais vous prenais une marche sur ce chemin sombre lorsque vous serez en territoire canadien, vous allez découvrir de suite que nous ne sommes pas aussi polis  et tranquilles comme vous le pensiez. La brasserie se trouve tout près de la rivière et du moulin de pulpe de papier. Possiblement, le mélange des deux donne un unique et rafraîchissant goût à cet étrange brassage. Nous devrions posez la question au propre Moose. Une autre chose à ne pas manquer et qu’il faudrait ajouter à notre escapade ce serait la Tour Carleton Martello, en l’ajoutant à notre éventail national. Il s’agit d’une fortification stratégique de défense utilisé pendant la guerre de 1812 pour que les Américains demeurent sur la baie. Merci Martello pour tes grandes tours!

Maman devant la brasserie Moosehead

Le Nouveau Brunswick est tout au plus de mes provinces préférées du Canada – c’est dommage qu’elle soit si loin de chez moi – et les gens sont vraiment sympas. Ceci vient s’ajouter à cette belle expérience. J’ai quitté Saint Jean le lendemain, à bord d’un vieux traversier qui va de cette partie du monde jusqu’au bout de la Nouvelle Écosse. À présent, si jamais vous décidez de faire ce voyage, la seule façon de le faire ce serait en prenant la route (cela représente un très long voyage) ou bien en prenant le condor métallique (les vols internes sont souvent très chers). J’étais bien émotionné d’arriver enfin en question de quelques minutes à la plus récente Nouvelle Écosse, la province qui a accueilli mon père et sa bande de Bickford du Royaume Uni. En route à Digby et au-delà ! 

dimanche 23 septembre 2012

Wagons vers l’est


Ce week-end, je suis en train de peser sur le bouton de rembobinage, qui nous ramène a l’été 2005 – si vous êtes intéressé dans d’autres expériences de voyages, envoyez moi un e-mail et nous en discuterons. Les Bickfords étaient décidés d’investir leur temps de vacances en famille dans la région des Maritimes qui leur rapporterait de beaux souvenirs, ce fut notre plus nouveau membre de la famille qui le suggéra, ma belle-sœur, Melissa. L’Atlantique forme partie de ce grand pays, pour lequel mon père garde une place spéciale dans les souvenirs de mon père et il s’agit vraiment d’un endroit où les gens sont très accueillants. J’aime bien les habitants des Maritimes. Mon père passa la plupart de sa jeunesse dans divers endroits pas mal lointains dans la Nouvelle Écosse et le Nouveau Brunswick quand sa famille immigra du Royaume Uni. Ces villages champêtres n’ont pas trop évolué depuis son enfance, un peu comme la Genève de Rousseau.



Mon père avait envie de faire ce voyage depuis son retour au Canada en 2001, mais pour une certaine raison, il n’y arrivait pas à le faire. Il avait réussi à dévouer plusieurs années de recherche intelligente et avait même préparé une espèce d’itinéraire. En 2002, Brian s’est marié, ce qui nous a mené à nous concentrer cet été à l’Ontario en le faisant changer d’objectif gracieusement. Après tout, Niagara-On-The-Lake est un endroit très beau pour y passer une partie de l’été et j’ai eu ma première et seule sœur à l’âge de 21 ans. L’année suivante, il nous a vraiment fait peur, il a fait une sérieuse attaque cardiaque en rentrant chez nous après le bureau. Son prolongé séjour à l’hôpital se passa en même temps que la fameuse épidémie du SARS qui a frappé l’Ontario sévèrement, en particulier l’industrie du tourisme. À chacune et toutes les visites à l’Hôpital Général d’Ottawa au pavillon des soins intensifs  une interview de routine avait lieu, faisant un dépistage de visiteurs, il fallait répondre un questionnaire afin d’évaluer une probable exposition au virus. Je me faisais poser tous les jours des questions sur mes récents voyages en Asie – Je ne leur ai jamais avoué que j’avais été en Chine la nuit d’avant et étais revenu pour  propager le virus – et en ce qui concerne se gaver d’une grosse consommation de Porc impérial et de poulet Général Tao. C’était énervant d’observer  tellement de préjugé vis-à-vis les buffets chinois, les héros silencieux des étudiants universitaires et leur budget.

En juillet 2005, la délégation d’Ottawa des Bickford prenait la route les ramenant vers l’est,  en faisant plusieurs arrêts en chemin vers Ingomar, l’endroit touristique le plus sauvage de la Nouvelle Écosse.  Pour ceux qui ne connaissent pas trop bien cet endroit de la carte du monde, vous pouvez faire une petite et rapide enquête sur Google et chercher l’ìle McNutts, le foyer des lions de mer – comme n’importe quel autre lion de mer, sauf qu’il s’agit du genre de la Nouvelle Écosse. Un de nos arrêt en chemin ce fut le bel  Edmunston , une ville totalement bilingue dans un coin du Nouveau Brunswick. Ils parlent des deux langues officielles simultanément ce qui peu bien représenter tout un défi pour la plupart parmi nous, cependant faisant preuve d’un grand patriotisme. Nous avons goûté une des spécialités de la région au restaurant de l’hôtel où nous sommes restés, il s’agissait d’une crêpe très fine de blé noir appelée « ploy » mangée(à vos propres risques) avec une bonne couche de « créton ». Le créton est un genre de pâté, un mélange d’oignons, épices et  fesse de porc – délicieux, n’est-ce pas ?  La fesse du porc  n’est pas la première chose qui vous vient à la tête, spécialement lorqu’il s’agit d’un manque de connaissance d’agriculture ou bien du métier de boucher – comme pour la plupart parmi nous. C’est une coupe spécifique de la viande de porc, mais j’ai pensé auparavant qu’il s’agissait  de la cervelle de chèvre. Enfin, peu importe cela ne vous tue pas, au contraire ça vous fait devenir plus fort, comme l’on dit. En mettant tout cela de côté ça vaut bien la peine d’y goûter même s’il ne s’agit pas d’un repas faible en gras.

Le lendemain, nous avons mangé avec un grand plaisir un lunch délicieux dans la ville de Fredericton, la capitale de la province. Le chemin est spectaculaire, en bordure de la rivière Saint Jean et on ne voit que l’eau tout autour de la ville. Je n’avais jamais y été avant et fut tout à fait ébloui par la beauté du centre-ville. Il ne faut pas s’éloigner plus de cinq rues ou vous risquez de vous perdre dans la banlieu. Les vieux bâtiments sont incroyablement bien préservés, entourés de parcs bien sculptés et des jardins tous coloris, ajoutant une touche d’élégance à tout cet héritage culturel. Même le bureau du tourisme a un garde armé portant un beau manteau rouge – je ne l’envie pas, je n’aimerais pas porter un si épais manteau en laine lorsqu’il fait une température de 30ºC – pour contrecarrer une attaque terroriste.  Cet endroit a été colonisé premièrement par les Français à l’époque coloniale, hélàs on remarque davantage l’influence de l’histoire britannique au moment où s’est devenu partie de l’Empire. La population est plutôt de personnes âgées, mais il y a quand même la présence des jeunes qui fréquentent le campus University of New Brunswick, l’une de nos meilleures institutions d’études post-secondaires dans la région.



En descendant vers Saint Jean, Nouveau Brunswick – à ne pas confondre avec Saint Jean’s, Terreneuve, St. Jean, Québec ou bien San Juan, Puerto Rico – J’ai eu l’occasion de voir le pont couvert, le plus long, en Amérique du Nord,  possiblement même dans le monde entier, à Hartland. Il y a plusieurs nations qui ont construit des ponts de plusieurs kilomètres (ou quelques milles) , mais personne construit des ponts couverts comme les Canadiens. Nous sommes l’envie du monde. Si jamais vous avez besoin d’un point, nous serons heureux de partager notre expertise avec vous. Après tout, c’est notre cadeau à l’univers. La prochaine fois que vous traverserez un pont, luttant contre le vent et la précipitation que l’on dirait qu’elle tombe horizontalement au lieu de verticalement, vous penserez à nous et nos constructions pour l’humanité. Je suis peut-être aller trop loin – ou peut-être pas – mais c’est peut-être pourquoi nous sommes l’un des meilleurs pays pour vivre dans la planète. Ne jamais sous-estimer la puissance d’un pont.

dimanche 16 septembre 2012

Bob Marley, le Superstar du monde en développement


La plupart d’entre nous qui sommes hors de la culture raggae nous avons une tendance à faire des associations négatives concernant les admirateurs de la mystique naturelle ainsi que du mouvement (Les Rastas sont synonyme des vibrations hypnotiques positives) en faisant nos propres conclusions à partir des stéréotypes – surtout ceux qui ont été créés dans le pays même! Ce mouvement spirituel afro-centrique a apparu dans les années 1930 dans les Caraïbes  en empruntant des croyances essentielles des chrétiens et des éléments de la compliquée histoire atlantique du trafic d’esclaves. L’Empéreur Haile Selassie I de l’Éthiopie est considéré la réincarnation de Jésus et le sauveur qui fera revenir les gens noirs à la Terre promise.



Lors de ma convalescence, j’ai accroché a un livre que mon père m’a offert, « Bob Marley : l’histoire derrière chaque chanson », par Maureen Sheridan. Ce pionnier reggae est sans doute le plus reconnu ambassadeur de ce mouvement religieux et spirituel. Cette religion fit sa muse et il voulait diffuser la parole à travers le globe. Le livre donne une imagine vraiment inspirée de cet humble jeune garçon campagnard et son humble voyage qui l’a mené à devenir une vedette internationale. Au long de sa vie, il est devenu un des plus reconnus artistes – et sous les yeux de beaucoup de gens, un héro du monde – qui est venu du monde en développement. Même pas Ricky Martin a réussi à égaler la popularité de ce fameux fils prodige de la Jamaïque. La culture de la rue de la région  et les ondes dominant la vie quotidienne de Trench Town, un des plus fort ghettos de Jam-rock à l’époque, est également primordial pour sa musique. Il a en fait commencé sa carrière musicale d’abord comme artiste solo lorsqu’il habitait les bidonvilles, et plus tard il s’est fait ami de Neville O’Riley Livingston – mieux connu comme « Bunny Wailer »- et Perter Tosh, ce qui éventuellement donna naissance aux Wailers, un vrai coup de chance qui lança la musique reggae devant une audience internationale qui souhaitait vivement un nouveau son.

La beauté de la doctrine instrumentale adoptée en la plupart des mélodies est la simplicité. Dans les mots du même homme de la reggae : « Une bonne chose à propos de la musique, lorsque que ça vous frappe, vous ne ressentez pas de douleur. » Ses lyriques poétiques et puissantes l’on atteint sans avoir besoin de le crier de voix vive. Une grande partie de son matériel est né de sa tourmentée enfance lorsqu’il fut rejeté par son père, qui était blanc, il guetta les gens qui crevaient de faim lorsqu’ils se faisaient payer relativement rien du tout pour une journée de travail, son confort en l’amour de Jah et son manque de satisfaction avec un système qui le privait des droits de représentation pour la plupart de ses camarades. Lorsque sa musique vous frappe, c’est cela que vous ressentez. Ces chansons étaient toujours pleines de messages d’espérance qui ont captivé de nombreuses multitudes à partir de Kingston jusqu’à Sydney.Tout le monde voulait voir le spectacle et ce qui ne l’ont pas fait, disaient quand même qu’il l’avait vu. Des personnalités du monde du spectacle comme Stevie Wonder et Mick Jagger furent également pour la musique, mais il est toujours resté un Rasta réaliste avec tout et sa coiffure, essayant d’aider toujours tous ceux qui venaient le voir dans son île chérie – même après une tentative de sa vie qui l’avait contraint à l’exile. Il a fait la promotion du respect des uns vers les autres, un amour un seul cœur, - voulant dire que nous faisons tous partie d’une famille globale quelle que soit la couleur de notre peau, notre croyance et notre statut social - et pour défendre nos droits, qui tous continuent de résonner aujourd’hui.

La magie de Bob fut son incroyable possibilité d’atteindre tout le monde – bien qu’il était frustré d’avoir eu peu d’effet sur les Afro-américains pour des raisons indépendantes de sa compréhension. Des concerts à Milan, Tokyo et autres villes où l’anglais n’était pas parlé, tous ce qui étaient présents, étaient souvent capables de chanter les Wailers, tout en se secouant au battement animé. La musique rentre par les oreilles et passe à travers les veines pour vous laisser emporter par le monde universel du rythme et la danse mondiale de la paix. Dans le livre de Sheridan, elle mentionne que Marley était sous la surveillance de la CIA en raison d’une croyance apparemment « communiste » et sa capacité à influencer et attirer de grandes foules. Parmi les plus importants rassemblements dans l’histoire de ses performances et en devoir de son peuple, était le concert à Kingston « Smile Jamaica », visant à unir les belligérants de factions politiques. Gauche et droite, les trains d’extension ont été engagés en fusillades, laissant d’importantes victimes, y compris des femmes et des enfants pris dans les feux croisés et l’écart entre les pauvres et nantis a continué de croître à un rythme alarmant. Les hostilités ont cessé temporairement, mais peut-être surtout à cause d’un passé contaminé, la Jamaïque a été incapable de sortir d’une violente réalité frappé par la pauvreté, souvent au bord d’un échec comme un état-nation.



L’héritage de Bob Marley continue après son décès tragique à l’âge de 36 ans en raison d’un cancer répandu et incurable. En procurez-vous le livre si jamais vous le voyez et vous ne le regretterez pas. Sa musique a inspiré de nombreux actes musicaux, y compris un énorme boom dans les pays où le reggae est à peine une partie de l’histoire, comme l’Argentine, le Chili, le Mexique et le Venezuela, pour en mentionner quelques-uns. Son succès ne fut pas seulement en raison de son amour pour la musique, un don naturel pour communiquer avec une audience diverse, mais pour son dévouement à son métier. Ses paires le décrivent comme un homme en mission. Il était constamment en train de jouer la guitare, écrivait des paroles et avait des sessions qui duraient des heures entières sans faire de pause. Ses enfants gardent toujours des ressentiments envers leurs parents rock-stars y compris leur style de vie, ils ont grandi négligés (leur mère faisait partie de la chorale Marley I-Threes) peut-être ceci fut un sacrifice pour une réalisation de courte durée.